Covid-19 – fabrique de la panique et braquage des comptes publics – épisode 9 : Le putsch de la finance

Cette vidéo est le neuvième épisode de la série réalisée avec le média Kairos. Nous y faisons le tour des origines politiques et financières de ce que nous avons vécu.

mise à jour le 20/09/22

En 2009, la « pandémie » de covid-19 a été précédée par la tentative ratée de pandémie de grippe H1N1 (voir le rapport du Sénat de 2010). Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, a prévenu que la pandémie sera gravissime. Avec ses modèles statistiques tordus, l’épidémiologiste britannique Neil Ferguson a prévu 2 millions de morts de grippe H1N1. Le Pr Antoine Flahaut prévoit 30 000 morts. Ils se sont ridiculisés et leurs modèles mathématiques, aux prévisions totalement fausses, ont été mises en question par le Sénat. Pourtant, dix ans après, on refait appel à eux et à leurs modèles mathématiques pour le covid-19. Aucun enseignement n’a été tiré de leurs erreurs.

L’OMS a été rendue responsable de la psychose de H1N1 par le rapport du Sénat en 2010. Avant 2009, l’OMS avait supprimé le critère de gravité dans la définition d’une pandémie. Pas besoin de morts ou de malades, il suffit de personnes testées positives, pour pouvoir déclarer une pandémie. De plus les conflits d’intérêts au sein de l’OMS et parmi les experts hors OMS ont été dénoncés par le Sénat (cela n’a fait qu’empirer depuis).

Les médias ont censuré toute voix dissidente en 2009 qui mettait en doute la réalité de la pandémie. Ce sera la même chose à propos du covid plus tard.

Coût du gâchis (les vaccins ont été jetés) : 1,5 milliard d’euros.

Les laboratoires pharmaceutiques, profitant de la campagne de peur de 2009, avaient préparé des stocks de Tamiflu et s’étaient préparés à faire des vaccins et à encaisser de l’argent à la pelle. En 2020, ils ne vont pas louper la pandémie covid !

Les dépenses pour les cabinets de conseil ont explosé ces dernières années, selon un rapport du Sénat de 2021. En 2020 : 600 millions d’euros de coûts non cachés. En 2021, près d’un milliard d’euros. Politiques et hauts fonctionnaires ont des conflits d’intérêt avec les cabinets conseil. Leur pantouflage en témoigne (voir l’organigramme de Philippe Duval là).
McKinsey défend les intérêts de son client Big Pharma au détriment de ceux des Français.
Le CAC40 a fait élire le candidat Macron (voir l’article d’Aude Lancelin dans Médiapart).
Les banques sont également bien représentées chez les politiques (voir Ces très chers banquiers, dossier du Canard Enchaîné de 2015).
On peut soupçonner l’origine de la pandémie dans cette conjonction d’intérêts.
Les laboratoires qui ont produit les vaccins commandés par la France sont détenus par des fonds de pension américains (Vanguard, BlackRock, State Street, etc.). Ces mêmes philanthropes possèdent aussi Facebook, Twitter, Google, Youtube, Microsoft et les grands médias, qui empêchent toute critique de Big Pharma. Microsoft, c’est Bill Gates, président de Gavi qui est le premier financeur de l’OMS, mais aussi des laboratoires pharmaceutiques, de l’Unicef, de l’Imperial College of London où travaille Neil Ferguson, de l’université d’Oxford (AstraZeneca), de la BBC, du Monde.

Les médias gardent férocement le camp du bien. Ils sont aidés des Fact checkers, deux des grands médias (Le Monde) comme ceux de petits blogs qui souhaitent se donner de la visibilité (Fact and Furious). Les journalistes sont à vendre, témoigne Julien Fomenta dans Fakir. Ces ghostwriters écrivent des articles commandés, qui sont ensuite parfois signés de vrais journalistes. Ces articles bidons sur Figarovox et d’autres blogs de grands journaux sont parfois cités comme des références !

L’argent généreusement distribué a fait taire tous ceux qui en ont profité. Le coût de la crise du covid pour la Sécurité sociale est de 10,5 milliards d’euros. La campagne de tests a coûté 13 milliards en 2021. Les petits labos ont bien gagné leur vie, de même les infirmiers et médecins (entre 100 et 400 € la demi-journée), les agents de sécurité dans les hôpitaux (60 millions d’euros par mois pour contrôler l’entrée des malades vacciné et virer les non-vaccinés), McKinsey a été payé 2 millions par mois pour la stratégie vaccinale, StopCovid (le logiciel qui ne marche pas) : 6,5 millions, 2 milliards d’euros d’aide aux média en 2020, 26 millions d’euros pour des sondages d’opinion en octobre 2020, 100 milliards d’euros en 2020 pour le plan de relance des entreprises (il y a eu moins de faillites que sur une année habituelle), 51 milliards d’euros de dividences ont été versés aux actionnaires du CAC40 en 2021. Pour les salariés qui souhaitent prendre une semaine de vacances : 27 milliards d’euros de chômage partiel en 2020, sans jour de carence (à l’inverse de toutes les autres maladies) et sans obligation de symptômes.

La stratégie du choc (voir le livre de Naomi Klein).
Créer un choc (coup d’État au Chili, pandémie) ou profiter d’un choc naturel (ouragan Katrina) permet d’instaurer, par un coup d’État, un système totalitaire rentable pour le grand capital. Le système totalitaire en est arrivé à dire aux Français combien ils pouvaient être à table à Noël, qu’ils ne pouvaient être assis sur la plage, ou dans les bars, puis l’inverse. Les médias ont expliqué que c’était scientifique et imposé par des êtres supérieurs. La population, perdue, y a cru. Pire, elle a cru y adhérer librement. Le coup d’État mondial et le grand contrôle mondial ont été décrits par Klaus Schwab dans le Great Reset. C’est affligeant et reflète le bas niveau intellectuel de ceux qui ont le pouvoir. Un résumé est disponible sur le site Kairos là.

Dans le premier épisode, nous avons vu qu’il n’y a eu aucune hécatombe nulle part en Europe, ni en 2020 ni en 2021.
Dans le deuxième épisode nous avons vu qu’il n’y a pas eu la saturation hospitalière annoncée.
Dans le troisième épisode nous avons vu qu’il n’y a pas non plus eu un « déferlement » de malades. Il y a eu bien moins de malades comptabilisés que pendant les épisodes dit « grippaux » du passé. Nous vivons une épidémie de « cas » entretenue par les fameux « tests » qui n’ont pas de rapport avec la moindre maladie.
Dans le quatrième épisode nous avons vu le moteur même de la fraude : l’utilisation de codes spécifiques par les hôpitaux de façon à produire les « bonnes » statistiques.
Dans le cinquième épisode nous découvrions le socle de l’idéologie sanitaire actuelle qui ne repose sur aucune expérience et est contredite par les statistiques : la contamination.
Dans le sixième épisode nous avons fait le tour des causes de décès depuis le début de la crise sanitaire à l’aide des rapports du Sénat, de Santé Publique France, de l’ATIH et des statistiques de décès de l’Insee pour découvrir le lien entre les mesures et les hausses de mortalité.
Dans le septième épisode nous avons analysé les fameuses injections et ce qu’il se cache derrière le mot « efficace ».
Dans le huitième épisode nous continuons l’analyse des injections. Nous allons voir ce qu’il se cache derrière le mot « sûr ».

Le Média en 4-4-2.

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