Google détient 93,18 % de la recherche en ligne. Ses nouvelles conditions de censure — pardon, ses nouvelles conditions d’utilisation — impliquent donc d’énormes répercussions dans toute l’Europe. À partir du 22 mai 2024, juste pendant la campagne des élections européennes — comme c’est bizarre ! — Google vous prévient : « […] si vous enfreignez nos conditions d’utilisation, nos recours ne se limitent pas à la suspension ou à la résiliation de votre accès aux services, mais peuvent inclure d’autres réparations en vertu de la loi applicable […] ».
Google sait ce qui est bon pour vous
« Nous poursuivons un programme d’études rigoureux sur les produits. Par conséquent, avant de modifier un service ou de ne plus le proposer, nous examinons attentivement vos centres d’intérêt en tant qu’utilisateur, vos attentes raisonnables, ainsi que leur impact potentiel sur vous et autrui. Nous ne modifions des services ou cessons de les proposer que pour de bonnes raisons. »
D’ailleurs c’est ça ou rien : « Si vous n’acceptez pas ces nouvelles conditions, supprimez vos contenus et cessez toute utilisation de nos services. Vous pouvez également mettre un terme à votre relation avec nous à tout moment en clôturant votre compte Google. » Et la menace se termine par : « Merci d’utiliser les services Google ! » Rompez !
Les sectes, c’est vous, les haineux
La loi « contre les dérives sectaires » vise à « imposer aux fournisseurs d’accès à internet (FAI) et aux hébergeurs de contenus en ligne de concourir à la lutte contre les abus de faiblesse et au délit de sujétion, à l’instar de ce qu’il leur est déjà imposé pour lutter contre le harcèlement scolaire ou moral ou encore la provocation à la haine. » Google se plie donc à la nouvelle législation.
Qualifié de charlatan par Olivier Véran, le Pr Didier Raoult est une des premières cibles de la loi anti-dérives sectaires qui vise, entre autres, les professionnels de santé « déviants ». Les députés n’étaient pas nombreux le jour du vote de la loi. Alors, qui s’y est vraiment intéressé ? qui l’a rédigée et finalement qui a édicté les nouvelles conditions de Google ? Peut-être McKinsey, mais sans aucun doute la secte Pfizer, Rockefeller, JPMorgan, Rothschild, Vanguard, BlackRock & Cie. Alors Google serait victime d’une conspiration sectaire ? Non, car Google appartient à ceux qui sont à l’origine de cette loi. Il en est donc un des responsables. Très officiellement, Google vous prévient : à partir du 22 mai 2024, désormais, la secte, c’est vous ! Et votez bien !
Pour ma part je surfe avec YANDEX qui est russe.
Ou BRAVE qui offre la possibilité d’ouvrir une fenêtre avec TOR directement depuis la page d’accueil sans rien installer . Cliquer sur les trois traits horizontaux à droite et menu déroulant . Ca permet de visiter les sites censurés en macronie, comme RT ou SPOUTNIK et bien d’autres .
Fuck GOGOLE et toute la clique .
On va de plus en plus vers la démocrature macroniste en marche forcée…