Peut-être un mauvais présage à Olympie en Grèce : les rayons du soleil, cachés par les nuages, n’ont pas pu allumer la flamme olympique comme le veut la tradition antique.
Le contexte géopolitique actuel est particulièrement défavorable, avec des conflits en Ukraine, au Moyen-Orient et des tensions entre la France et certains pays hostiles. Ces tensions pourraient mener à des campagnes de subversion idéologique ou de déstabilisation. De plus, la menace terroriste pèse toujours sur la France, et les JO représentent une vitrine non négligeable pour la propagande de ces mêmes groupes. Récemment, des ordinateurs et des clés USB contenant des données sensibles sur l’organisation des JO ont été volés, ajoutant une nouvelle inquiétude quant à la sécurité de l’événement.
En ce qui concerne les problèmes sécuritaires et la délinquance, il est à noter que de nombreux policiers et gendarmes vont devoir se déplacer à Paris pour assurer la sécurité de la capitale, laissant d’autres villes délaissées d’un point de vue sécuritaire. De plus, le comité olympique a eu la « merveilleuse » idée d’organiser la cérémonie d’ouverture sur la Seine, ce qui représente un risque sécuritaire majeur. Cependant, en raison des difficultés à sécuriser cet événement, il a été suggéré de déplacer la cérémonie d’ouverture au Trocadéro ou au Stade de France.
Du point de vue organisationnel, les transports en commun à Paris sont déjà très difficiles au quotidien, et l’affluence des JO ne va pas arranger les choses. Le président Macron a lui-même admis que « nous ne sommes pas totalement à la hauteur et au rendez-vous » concernant les transports en Île-de-France. La présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, a suggéré qu’il serait nécessaire de « télétravailler » ou de « marcher » pour désengorger les transports. De plus, certains syndicats pourraient appeler à la grève, ce qui serait une catastrophe pour l’organisation des JO. Enfin, les coûts de ces JO sont estimés à 9 milliards d’euros pour le moment, mais il faudra faire les comptes à la fin, et il est possible que cela coûte plus cher que ce que cela rapporte.
Fiasco JO : Fuites dans la piscine olympique, eau de la Seine impropre à la baignade et grèves en cascade !https://t.co/sQcLtzbZsy
Décidément, quand ça veut pas, ça veut pas. Les problèmes se multiplient, et ce n’est pas fini…! pic.twitter.com/3cEyUmvQYh
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En ce qui concerne les épreuves sportives, l’eau de la Seine où devraient avoir lieu les épreuves de triathlon et de nage en eau libre serait dans un état alarmant selon l’ONG « Surfrider ». Sur 14 prélèvements effectués entre septembre 2023 et mars 2024, treize sont au-dessus des seuils recommandés, ce qui pourrait mettre en danger la santé des athlètes.
Enfin, du point de vue symbolique, l’affiche officielle des JO a suscité la polémique en raison de la suppression de certains symboles religieux, notamment la croix des Invalides. De plus, le choix d’Aya Nakamura comme chanteuse officielle pour la cérémonie d’ouverture a été critiqué en raison des paroles de ses chansons, qui sont souvent obscènes ou vulgaires. En outre, Baptiste Moirot, futur porteur de la flamme olympique, est accusé d’avoir envoyé des messages à caractère sexuel à des mineures, ce qui jette une ombre sur l’image des JO. Baptiste est connu pour avoir joué avec le feu, complètement défoncé, dans une vidéo virale en 2017…
🔥🤪Baptiste, le « pas net » porteur de la flamme olympique : la dernière trouvaille absurde des organisateurs des JOhttps://t.co/JL9RlL1urY
Quand le buzz prend le pas sur le sérieux… Et on en est qu'aux préparatifs ! #SouthPark #JO2024 #baptiste pic.twitter.com/VP8eL0BjHn
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