Slobodan Despot déplore le manque de professionnalisme et la pauvreté de la langue dans les médias francophones d’Europe occidentale. Il constate que les mêmes expressions et syntagmes se répètent, trahissant l’origine des informations et le manque de vérification, et note une différence flagrante avec le monde anglo-saxon, où il y a beaucoup plus de diversité et de médias alternatifs. Il cite l’exemple de Tucker Carlson, qui a constitué sa propre plateforme et dont l’audience dépasse celle des chaînes historiques américaines.
L’ écrivain critique l’arrogance de l’Occident qui impose ses valeurs comme universelles, ignorant la diversité culturelle et les spécificités locales. Selon lui, cette attitude est particulièrement visible dans la manière dont les médias occidentaux couvrent le conflit en Ukraine. Il dénonce un récit préétabli qui ne reflète pas la complexité de la situation et qui ignore les points de vue différents. Les médias créent un narratif qui se veut la vérité absolue : ceux qui le remettent en question sont traités d’agents de la Russie, de complotistes ou de propagandistes.
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