Covid-19 : fabrique de la panique et braquage des comptes publics – épisode 8

Cette vidéo est le huitième épisode de la série réalisée avec les médias Kairos et Décoder l'éco. Ils analysent les fameuses injections. Ils vont voir ce qu'il se cache derrière le mot « sûr ».

mise à jour le 15/09/22

En France, les études ne tiennent compte que des chiffres de décès covid et non des décès « toutes causes confondues », qui eux, n’ont pas augmenté.

Qui est touché par la première vague de surmortalité en Ile-de-France (24 janvier 2020) ?

– les personnes décédées à la maison (tout avait été fait pour les décourager de se faire soigner à l’hôpital),
– les décès dans les 48 heures d’entrée (retardée au maximum) à l’hôpital,
– les victimes du Rivotril (administré par décret) dans les Ehpad.

Qui est touché par la deuxième vague de surmortalité en France (27 décembre 2020) ?

Débutée le 27 décembre 2020, la vaccination antigrippale et covid de masse a correspondu à un record de décès dans les classes sociales les plus aisées, qui sont les plus convaincues de l’utilité du vaccin et de la bienveillance de l’État (voir 20’54 de la vidéo). Plus il y a de doses, plus il y a de mortalité.

Épi-phare

Une étude d’Épi-phare porterait sur les 18-74 ans, alors que les jeunes ne se sont fait vacciner qu’à partir du 12 juillet 2021. Ce serait en fait une étude sur les 60-74 ans. Epi-phare a comparé les AVC des vaccinés et des non-vaccinés sur une période trois semaines. Au bout de trois semaines, les vaccinés sont intégrés au groupe des non-vaccinés. C’est donc une comparaison entre fraîchement vaccinés et vaccinés depuis trois semaines maximum. Conclusion : la vaccination Moderna et Pfizer protège des infarctus, mais chez Janssen et AstraZeneca, il y a un sur-risque.

Pharmacovigilance aux USA : les décès explosent depuis le début de la vaccination covid

Dans le premier épisode, nous avons vu qu’il n’y a eu aucune hécatombe nulle part en Europe, ni en 2020 ni en 2021.
Dans le deuxième épisode nous avons vu qu’il n’y a pas eu la saturation hospitalière annoncée.
Dans le troisième épisode nous avons vu qu’il n’y a pas non plus eu un « déferlement » de malades. Il y a eu bien moins de malades comptabilisés que pendant les épisodes dit « grippaux » du passé. Nous vivons une épidémie de « cas » entretenue par les fameux « tests » qui n’ont pas de rapport avec la moindre maladie.
Dans le quatrième épisode nous avons vu le moteur même de la fraude : l’utilisation de codes spécifiques par les hôpitaux de façon à produire les « bonnes » statistiques.
Dans le cinquième épisode nous découvrions le socle de l’idéologie sanitaire actuelle qui ne repose sur aucune expérience et est contredite par les statistiques : la contamination.
Dans le sixième épisode nous avons fait le tour des causes de décès depuis le début de la crise sanitaire à l’aide des rapports du Sénat, de Santé Publique France, de l’ATIH et des statistiques de décès de l’Insee pour découvrir le lien entre les mesures et les hausses de mortalité.
Dans le septième épisode nous avons analysé les fameuses injections et ce qu’il se cache derrière le mot « efficace ».

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