Le consensus est politique dans son essence même où il est nécessaire et bienvenu pour prendre une décision collective. Dans la définition du dictionnaire, on parle même de consensus social, ce qui fait bien écho à une réflexion commune. Hors, la science n’a aucun lien de justification avec ce consensus, encore moins avec une matière comme les mathématiques. Quand 2+2 font 4, un consensus « scientifique » entre quelques personnes de haut vol ne fera pas que 2+2 font 5…
Idriss Aberkane explique :
« Le consensus est un instrument politique, et la science procède de démonstration et se fout complètement de la démocratie. La science ne procède que de démonstrations, de déductions et certainement pas de consensus. »
« La science du Professeur Raoult a soigné 30.000 patients, j’attends d’avoir des chiffres comparables, ce ne sont certainement pas les essais Discovery et Recovery qui pourront s’opposer à cet état de fait. »
« On peut controvertir la science pour obtenir des décisions politiques qui vont spolier les peuples exactement comme on a utilisé l’économie pour « désolé il n’y a pas d’alternative ». »
« Aujourd’hui on va utiliser la « science du climat » pour vous dire « il n’y a pas d’alternative », il faut confisquer les terres, il faut empêcher les gens de voyager, il faut créer des pass’carbone, il faut confiner les gens, réduire leurs libertés, confisquer leurs acquis parce que « the science is clear » ( Barack Obama) ».
Si la « science découverte » a besoin d’être mise à l’épreuve des essais, c’est pour avoir un discours scientifique fait de retours d’expériences et d’analyses pragmatiques. La science et ses découvertes ne doit pas faire l’objet d’une rhétorique depuis une voie hiérarchique pour inhiber toute argumentation factuelle. Dans ce dernier cas, nous sommes sur une manipulation des personnes entre défaut d’interprétation et biais d’autorité.
Le Média en 4-4-2
Con sans quoi ???