Pierre Chaillot : « Effet indésirable : les naissances s’effondrent »

Baisse constante des naissances en France

Si l’on observe les chiffres depuis janvier 2015 jusqu’en août 2023, la courbe des naissances en France montre une tendance à la baisse, avec des variations saisonnières, marquées par une hausse en été. Cependant, en 2020, le confinement a engendré une chute drastique des naissances, qui a été compensée par un rebond en 2021. Cette reprise a été stoppée en début d’année 2022, neuf mois après le début de la campagne de vaccination anti-COVID-19.

Impact similaire dans plusieurs pays européens

La situation n’est pas unique à la France. Plusieurs pays européens, dont le Danemark, l’Allemagne, la Suisse, la Slovénie, et les Pays-Bas, connaissent une diminution des naissances après la campagne de vaccination des jeunes femmes. Ce phénomène interpelle, et il est crucial de comprendre si la vaccination a un lien direct avec cette baisse de fécondité.

L’Espagne et l’exception à la tendance

L’Espagne, bien que subissant une baisse des naissances, ne présente pas de déclin plus marqué que la tendance précédente. Cependant, il est essentiel de rester vigilant, car une baisse continue pourrait compromettre la démographie du pays.

Des études renforcent les liens entre vaccination et problèmes menstruels

Une étude norvégienne et d’autres sources ont confirmé que la vaccination anti-COVID-19 peut entraîner des problèmes menstruels chez les femmes. Des saignements plus abondants ont été observés chez des femmes vaccinées, y compris chez celles en période de ménopause.

D’autres problèmes de santé liés à la vaccination

Outre les troubles menstruels, d’autres problèmes de santé tels que des fausses couches et une mortalité néonatale accrue ont été signalés dans certains pays. Il est impératif que les autorités sanitaires continuent de surveiller ces données et de prendre des mesures appropriées pour protéger la santé des femmes enceintes et de leurs bébés.

Bill Gates le complotiste

Le journal Le Monde, financé par la fondation Bill & Melinda Gates (5,5 millions d’euros) et par l’État (8 millions d’euros), a tenté de justifier une déclaration de Bill Gates qui sonne comme un aveu : « Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards de personnes. On devrait atteindre 9 milliards. Avec de très bons résultats sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, le contrôle des naissances, on pourrait le réduire de peut-être, 10 ou 15 %. » Des soins de santé et des vaccins pour diminuer la population ! Les vaccins covid  seraient donc conçus pour avoir des effets indésirables. Le Dr Mengele aurait-il un adepte en la personne de Bill Gates ?

Assma Maad est une journaliste qui détient la Vérité. Elle est décodeur au Monde. C’est elle qui répond aux intelligentes questions que les lecteurs se posent très certainement : « Peut-on se baigner dans la Seine ? Doit-on manger de la viande quand il fait 40 degrés ? » C’est elle qui va — péniblement — tenter de nous rassurer au sujet des intentions de Bill Gates. En fait, selon elle, nous n’avons  rien compris. Non, ce n’est pas la population qui va diminuer avec les vaccins, mais l’accroissement de la population. Il y aura moins d’être humains que prévu. Et pour enfoncer le clou à destination des complotistes : Bill Gates estimerait que « ce progrès conduira, à terme, les parents à concevoir moins d’enfants, s’ils savent qu’ils vivront longtemps et en pleine santé. » Ben voyons.

Des vaccins contre les futures générations

Emmanuel Macron est sur la même longueur d’ondes que Bill Gates. À présent il veut vacciner les bébés contre la bronchiolite (0,08 % de décès dans les cas déclarés) et les enfants contre le cancer du col de l’utérus. Pour leur bien… Emmanuel Macron, en décembre 2017, l’année même de son élection, avait rendu obligatoires onze vaccins (à l’aluminium) pour les bébés. Des mesures sanitaires prises dans l’empathie (« Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. »)

La baisse des naissances après la campagne de vaccination anti-covid-19 soulève des questions importantes sur les effets à court et long terme de la vaccination sur la fertilité et la santé des femmes. Les autorités sanitaires, les médias et la population devraient être vigilants. Il faudrait initier des recherches pour comprendre ces phénomènes et prendre des mesures appropriées pour protéger la santé des femmes. Les répercussions de la vaccination sur la santé reproductive ne devraient pas être sous-estimées. Une surveillance continue est nécessaire pour garantir la sécurité des futures générations.

Le Média en 4-4-2