La colère de Netanyahou face à la perspective d’un mandat d’arrêt international de la Cour pénale internationale

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou est fou de rage suite à la possibilité que la Cour pénale internationale (CPI) émette des mandats d'arrêt à son encontre et à l'encontre d'autres responsables israéliens. Cette perspective a poussé Netanyahu à appeler les gouvernements du bloc occidental à faire pression sur le CPI.

mise à jour le 04/05/24

Les menaces d’Israël à l’encontre de l’Autorité palestinienne et ses pressions exercées sur les juges de la CPI sont une honte absolue et soulèvent des questions sur l’indépendance et l’impartialité de la justice internationale.

Les pressions des membres du Congrès américain sur le CPI

Les législateurs américains, républicains et démocrates, stipendiés par le très puissant lobby juif AIPAC (American Israel Public Affairs Committee), font pression sur la Cour pénale internationale. Ils ont appelé à des représailles contre la CPI si elle émet des mandats d’arrêt contre des responsables israéliens.

La position du Département d’État américain

Le génocidaire Netanyahu a dépêché ses employés américains pour faire pression sur le CPI. Selon le Département d’Etat des Etats-Unis, la CPI n’a pas le droit d’enquêter sur Israël. Le porte-parole adjoint du département d’État américain, Vedant Patel, a insisté sur le fait que la Cour pénale internationale n’a aucune compétence pour juger les responsables israéliens.

Les menaces de Netanyahou envers la CPI et l’Autorité palestinienne

Netanyahu menace la CPI en déclarant qu’Israël punirait la Palestine si la Cour poursuivait ses dirigeants. Israël a averti les États-Unis qu’il punirait Ramallah, l’Autorité palestinienne et provoquerait son effondrement si la Cour pénale internationale (CPI) émettait des mandats d’arrêt contre les dirigeants de l’État juif.

La réaction de la Maison Blanche

Le porte-parole de la Maison Blanche, John Kirby, a déclaré que les États-Unis s’opposaient à une enquête de la CPI contre Israël, mais qu’ils étaient également opposés aux menaces et aux intimidations contre les juges de la Cour. Les responsables israéliens ont été alarmés par les remarques de Kirby et ont demandé à la Maison Blanche si cela représentait un changement dans la position des États-Unis.

Une honte pour la justice internationale

Cette affaire met en lumière le sentiment d’impunité d’Israël, qui se permet de donner des ordres à ses alliés et de faire pression sur la Cour pénale internationale. Les menaces à l’encontre de l’Autorité palestinienne et les pressions exercées sur les juges de la CPI sont une honte absolue et soulèvent des questions sur l’indépendance et l’impartialité de la justice internationale.

Article rédigé d’après les tweets de John Galt sur son compte X (que nous vous invitons à suivre !).

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