Enfin un vaccin contre le virus tueur !

mise à jour le 27/01/22

Enfin un vaccin contre le virus de la peur !

Mesdames et Messieurs, chers compatriotes,

Une dépêche de la plus haute importance vient de tomber ce matin à l’AFP : le vaccin contre le Covid-19, tant attendu dans le monde entier vient enfin d’être découvert. Après des premiers essais cliniques tout à fait concluants, son Autorisation de Mise sur le Marché ne devrait plus tarder à être obtenue, malgré les résistances illégitimes des gouvernements européens et étasuniens qui, fidèles à leurs habitudes bureaucratiques, entravent la science et la médecine, au nom du fameux principe de précaution. Il n’y a pourtant cette fois-ci aucune suspicion à avoir sur l’innocuité de ce vaccin, en effet, la réputation du labo FGATJ*, qui vient de publier sa découverte, n’est plus à conquérir puisqu’il a été à l’origine de nombreux vaccins utilisés partout dans le monde aujourd’hui, dont celui de l’hépatite B, le Vaselino-Yabon® dont on estime qu’à lui tout seul il aurait sauvé 17 vies par centième de seconde depuis sa mise en circulation en 1742, soit 18 milliards d’être humains : le double de la population mondiale actuelle** !

Le seul effet secondaire à craindre suite à la prise de ce nouveau vaccin miracle, a déclaré ce matin l’éminent professeur et spécialiste des généralisations incompréhensibles, John Enfoiros, le directeur de recherche du labo FGATJ est « une anodine poussée capillaire sus-cutanée aiguë qui ressemblerait à de la laine de mouton, rien d’alarmant au vu du nombre de vies que l’on va sauver ! » Mais la FED et la Banque Centrale Européenne se sont déjà engagées à prendre en charge les frais de tonte occasionnés, prévoyant même une revente des produits de cette tonte à la Chine, un marché très prometteur comme on le sait aujourd’hui, mais dont la population imberbe de naissance ne semblerait pas développer le symptôme*** encore peu connu.

Enfin, la seule chose qu’il nous reste à espérer est que cette dépêche ne soit pas encore une de ces Fakenews si chère à ces dangereux lanceurs d’alerte qui sévissent encore en toute impunité aujourd’hui, au XXIe siècle dans le monde (et les trois galaxies les plus proches du système solaire citées plus haut), mais heureusement plus pour longtemps.

Article non-signé par son auteur qui a quand même un petit reste d’instinct de survie (sans illusion). Bon, je vous donne quand même son numéro de sécu, 3 45 98 007 329 18, mais pas son code de carte bancaire, faut pas déconner !

* « Ferme ta Gueule A Tout Jamais », laboratoire financé à 115% par la fondation humanitaire Bill et Melinda Gates et l’Organisation caritative Monsanto.
** On ne déplore parmi les effets indésirables soupçonnés qu’un seul cas recensé : un homme d’âge mûr aurait perdu la tête en 1789 à Paris. Mais cette accusation qui a d’abord été prouvée par des recherches scientifiques et judiciaires de mauvaise foi a ensuite été démentie lorsque la Société FGATJ a fait appel, grâce à l’implication du juge Bonnefoi, le cousin du PDG de FGATJ, qui s’est d’ailleurs ensuite retiré des affaires judiciaires dans une île perdue près des Bahamas. Mais ce sont là certainement encore des Fakenews ! NE LAISSONS PAS NOTRE JUGEMENT PERSONNEL SE FAIRE INFLUENCER !
*** Symptôme de soumission à Bigpharma, supposeraient certains complotistes douteux.

Notes de la Rédaction (MDR) :
– Toute ressemblance entre les propos de cet article à vocation uniquement humoristique (!) et les techniques de com couramment utilisées par les médias officiels est totalement fortuite.
– La rédaction décline toute responsabilité vis-à-vis des propos de l’auteur qui pourrait déjà être promu à un joyeux avenir carcéral. En effet, « on peut rire de tout, mais pas avec n’importe qui », comme disait Pierre Desproges, et il se pourrait que l’on touche ici à un sujet sensible, comme l’a montré la réaction très virulente à la blague de Carla Bruni, qui a dû s’en excuser platement, faisant semblant de tousser sur son public en début de cette crise du Covid-19. Rire de la mort en France n’est drôle et autorisé que lorsque l’on parle de celle des autres, des pauvres qui habitent très très loin, par exemple.

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