Israël est l’un des pays les plus racistes et suprémacistes au monde

Même si Israël s’efforce de jouer le rôle de la victime, il s’agit en réalité d’un État raciste et suprémaciste juif qui tente de nettoyer ethniquement la Palestine depuis des décennies. Kei Pritsker de "BreakThrough News" explique comment le racisme est au cœur de l’identité nationale d’Israël.

mise à jour le 03/11/23

Israël : fondée sur le Racisme

Dès son origine, l’idée d’Israël en tant qu’État a été fondée sur le concept du sionisme, qui prônait la création d’un État juif en Palestine. Le problème réside dans le fait que cette création a été réalisée au détriment des Palestiniens qui vivaient déjà sur ces terres. Le slogan des fondateurs d’Israël, « une terre pour un peuple sans terre, » était pourtant en contradiction avec leur connaissance implicite que l’expulsion des Arabes était nécessaire pour assurer une majorité juive.

Racisme et discrimination enracinés

Le racisme est profondément enraciné dans la société israélienne. Par exemple, un sondage révèle que deux tiers des adolescents israéliens croient que les Arabes sont moins intelligents, incultes et violents. De plus, une grande proportion d’Israéliens ne souhaite pas vivre à proximité d’Arabes ni autoriser des liens sociaux avec eux. Ces chiffres suggèrent un niveau alarmant de préjugés dans la société israélienne.

Racisme institutionnalisé

Il existe des lois et des politiques gouvernementales qui perpétuent la discrimination. Parmi celles-ci, la loi sur le mariage interreligieux, qui vise à décourager les mariages entre Juifs et non-Juifs, et la loi sur l’État-nation de 2018, qui confère des droits exclusifs aux Juifs, laissant les minorités discriminées.

Le texte législatif visant à interdire la mention de l’expulsion des Palestiniens (la Nakba) est également pointé du doigt comme une tentative de réécrire l’histoire et de supprimer la mémoire de l’injustice passée.

Leaders et politiciens

Des personnalités politiques notoires ont exprimé des opinions racistes et ont été promues dans des postes de pouvoir. Des exemples incluent des déclarations choquantes d’hommes politiques appelant à la mort des Palestiniens et des commentaires dénigrants sur les mères palestiniennes. Ces actes ne semblent pas avoir entravé la carrière de ces politiciens, bien au contraire, ce qui renforce l’idée que le racisme est toléré à des niveaux élevés du gouvernement israélien.

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1 commentaire sur "Israël est l’un des pays les plus racistes et suprémacistes au monde"

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  1. Le monde judéo-chrétien, n’existe pas, nous sommes confrontés, en réalité, à une opposition multiséculaire entre le monde chrétien religion de l’esprit, il y a une vie après la mort et aux mondes juifs et islamiques religions du temps terrestre.
    L’attitude arrogante des juifs est fondée, avant tout, sur le postulat d’être une religion supérieure élue par Dieu pour gouverner le monde à tout jamais de façon unipolaire. Le mot «antisémitisme» a été créé exprès par les juifs eux-mêmes, en réaction à la vision juive du monde, où ils considèrent les non-juifs comme des animaux enclins à un comportement irrationnel et «mauvais».
    Si je réalise ou si je découvre que quelqu’un veut ma mort (Torah, Coran), je fais tout mon possible pour le contrer. En effet, il ne s’agit pas d’antisémitisme ou d’anti islamisme, il s’agit tout simplement d’autodéfense vis-à-vis d’une ruse diaboliquement agressive que ces religions ont toujours exercé vis à vis des non croyants.
    Pour les juifs, leur ennemi numéro un est Jésus le Nazaréen qui a osé les mettre dos au mur de leur perspicace iniquité jusqu’à leur dire clairement que leur Dieu est Satan. Le fait qu’ils l’ont condamné est la preuve que Jésus Christ avait mis le doigt dans la plaie purulente de l’âme juive.
    Le sens de culpabilité soutenu et alimenté en particulier par la naïve croyance dans « le phénoménal mensonge de l’Holocauste », a tellement pénétré les consciences des non juifs afin qu’ils n’arrivent même plus à croire à ce qu’une petite minorité juive fondamentaliste eux mêmes disent d’eux mêmes, -notamment leur oligarchie sioniste-, allié à la franc-maçonnerie pédo-sataniste (dans les degrés les plus élevés)- de leurs plans, du truc de l’antisémitisme qu’ils ont inventé, de la convenance du sacrifice d’un certain et limité nombre de leur « frères juifs » dans les camps nazi, afin de créer le mythe de l’antisémitisme et poursuivre leur plan de conquête du monde…
    Bref, les non-juifs sont, en très large mesure, complètement hypnotisés par la narration juive.
    Le phénomène du Covid (créé de toute pièce par les juifs) dans lequel ont cru les centaines de millions de gens qui se sont fait empoisonner par un soi disant «vaxxin», est un exemple de ce qu’on peut faire avec la propagande scientifiquement rusée, que les juifs adoptent depuis toujours et qu’on peut vaincre seulement avec une foi active en Jésus Christ, VÉRITÉ en radicale opposition du mensonge dont les Juifs (et leur collabos adeptes de l’islam) sont les maîtres inégalés.
    Puisque les juifs, de la même façon avec laquelle, pour le vaincre, on veut désarmer à l’avance son ennemi, ont réussi, entre autres, à détruire par apostasie, c’est à dire l’abandon volontaire et public d’une religion, en particulier la foi chrétienne.
    On peut comprendre pourquoi le monde est au bord du précipice.
    «Ni l’éthique juive ni la tradition juive ne peuvent disqualifier le terrorisme comme moyen de combat. Nous sommes très loin d’avoir un quelconque scrupule moral à l’égard de notre guerre nationale. Nous avons devant nous le commandement de la Torah, dont la moralité surpasse celle de tout autre corps de lois dans le monde : Vous les exterminerez jusqu’au dernier homme».
    Yitzhak Shamir, premier ministre entre 1986 et 1992, Shamir sur le terrorisme (1943) », Rapport sur le Moyen-Orient 152 (mai/juin 1988).

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