A l’heure où la psychologue Caroline Goldman, en marche contre l’éducation positive, prône un retour à l’ordre et à la soumission de l’enfant dès son plus jeune âge, un choix semble à faire pour les parents. La fille du chanteur, multipromue par les médias, justifie un retour au brutal, à l’imposition et aux récompenses avec des punitions dès 10 mois et intime aux parents de se couper de leurs émotions et de ne plus faire preuve d’empathie. Le tout dans un contexte où l’État cherche à capter les enfants le plus possible : interdiction de l’école à la maison, allongement du temps de présence à l’école, entrisme idéologique avec une approche de la sexualité discutée par les professionnels éducation sexuelle, etc.
Que ce soit l’Institution ou Caroline Goldman, on assiste à un retour global à l’ordre (au sein de la société et des familles), avec une dominante des notions d’autorité, d’obéissance et de soumissions, le tout est basé sur Peur.
Les parents cherchent à s’informer et à comprendre les enjeux qui se trouvent derrière l’éducation de leurs enfants. Sonia Delahaigue livre ici (et avec son ouvrage « Ils n’en sont pas morts ! ») un diagnostic authentique et détaille les séquelles des maltraitances invisibles, après les avoir identifiées. Elle nous transmet aussi des clefs pour aider nos enfants à s’épanouir et à développer leur potentiel, tout en stimulant cet instinct animal protecteur qui ne demande qu’à se réveiller chez beaucoup de parents.
Le Média en 4-4-2
La réponse : ça m’énerve un peu , récurrente , face à une situation éducative jugée inappropriée par l’intervenante , fait montre d’une pauvreté sémantique et conceptuelle, dans un domaine où justement ces notions sont essentielles . Sont travail bien veillant semble aller , malgré tout ,dans le bon sens . Le rapport au pére définira le monde demain .