Colmar : Des militants écologistes déversent un colorant fluo dans une rivière, des poissons sont retrouvés morts

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Un acte de désobéissance civile perpétré par les membres radicaux du mouvement Extinction Rebellion (XR) a semé la mort dans la paisible ville de Colmar samedi dernier. Dans une démonstration de protestation, ces soi-disant défenseurs de l’environnement ont transformé la Lauch, une rivière autrefois paisible, en un cauchemar vert fluorescent. Des poissons ont été sacrifiés dans leur quête insensée pour attirer l’attention sur leurs revendications.

L’horreur ne s’est pas limitée à Colmar, car Extinction Rebellion Strasbourg, une branche régionale de ce mouvement controversé, a également pris part à cette action scandaleuse. Leur prétendue mission : dénoncer la décision de l’État de stocker 42 000 tonnes de déchets toxiques dans les mines de potasse de Wittelsheim. Cependant, leurs méthodes extrêmes ont dépassé toutes les limites du raisonnable.

Les militants d’XR prétendent que le colorant vert fluo qu’ils ont déversé est « inoffensif », mais les preuves racontent une histoire différente. Le maire de Colmar a fait une déclaration dimanche, révélant que des poissons gisaient morts dans la Lauch à la suite de cette pollution causée par ce prétendu « mouvement écologiste ».

Eric Straumann, le maire indigné, a déclaré sur sa page Facebook :

« J’ai été alerté par des Colmariens de la présence de poissons morts dans la Lauch après la pollution provoquée par un mouvement « écologiste ». L’auteur des faits a été identifié par les Brigades Vertes. Nous poursuivons la procédure contre cet individu. J’ai moi-même pu constater l’impact sur la faune aquatique de ce colorant qui a été dispersé en grande quantité et qui reste très visible plus de 24 heures après sa dispersion. »

L’indignation dans la communauté est palpable, alors que les citoyens se demandent si de tels actes extrêmes sont vraiment nécessaires pour défendre la cause environnementale.

Les conséquences désastreuses de cette action impitoyable ne peuvent être niées.Alors que l’opinion publique se divise sur la validité des revendications d’XR, une chose est sûre : leur méthode choquante soulève des questions sur la frontière entre la défense de l’environnement et le vandalisme pur et simple.

L’heure est à la réflexion sur les limites de l’activisme environnemental, car les membres d’XR Strasbourg et leurs actions radicales font les gros titres pour toutes les mauvaises raisons.