Santé

Révélation Choquante : Des vaccins à ARNm contaminés par de l’ADN, selon le Professeur Patrick Provost

Il y a quelques temps, nous avions découvert une information plutôt embarrassante sur la diversité des lots de vaccins fabriqués. Cette info revient deux ans plus tard par diverses personnes et sources comme le professeur Patrick Provost ou encore le professeur Didier Raoult.

mise à jour le 28/01/24

Didier Raoult rejoint le Professeur Patrick Provost dans son appel contre les Vaccins à ARNm. Une lecture incontournable.

Le professeur et chercheur Patrick Provost a récemment partagé des informations importantes lors de son passage sur Rebel News Québec. Selon lui, les vaccins à ARNm ont été élaborés selon deux procédés de fabrication distincts. Celui largement utilisé dans le monde entier semble être contaminé par de l’ADN, ce qui pourrait potentiellement favoriser le développement de cancers, y compris les redoutés « turbo-cancers ».

Il explique que le premier procédé était clairement conçu pour éviter toute contamination par de l’ADN. Cependant, le deuxième procédé, qui s’est avéré être contaminé par de l’ADN, a été testé sur seulement 250 personnes avant d’être administré à la population mondiale.

Ce qui est particulièrement préoccupant, c’est que la présence de cet ADN n’est pas déclarée comme faisant partie de la composition officielle des vaccins commercialisés. La demande de commercialisation a été formulée en se basant sur le procédé 1, tandis que les produits réels utilisés à l’échelle mondiale sont issus du procédé 2, ce dernier étant contaminé avec de l’ADN à des niveaux 200 à 500 fois supérieurs à la norme acceptée pour un vaccin.

Ce risque potentiel que les cellules contaminées deviennent cancéreuses ne peut être ignoré, ajoutant une dimension sérieuse à cette question délicate. Les implications de cette révélation soulignent l’importance d’une transparence totale dans le processus de fabrication et de commercialisation des vaccins.

« C’est une grave erreur de présumer que les vaccins issus du procédé 2 ont les mêmes propriétés, mêmes caractéristiques, le même contenu que ceux issus du procédé 1 et pourtant, toute l’autorisation par les autorités, toute la publicité faite par le gouvernement depuis des années est peut-être vrai pour le procédé 1 mais personne dans le grand public n’a été injecté avec ce vaccin, toute la population, mondiale a été injecté avec le vaccin du procédé 2. » Patrick Provost

Les propos de Didier Raoult reprennent les observations du Pr. Patrick Provost ci-dessus. À lire :

Nous sommes heureux de constater que le chirurgien général de Floride, équivalent de notre ministre de la santé, demande à la FDA d’interdire les vaccins contre le COVID de Pfizer et Moderna. https://floridahealth.gov/

Contrairement à leurs indications et à toutes les règles pharmaceutiques, ces vaccins contiennent des quantités considérables (100 000 copies par ml) d’ADN, alors qu’ils ne devraient en contenir que des traces. Ces copies d’ADN, associées au plasmide qui a permis de créer l’ARN, ont été démontrées, à d’autres occasions dans le passé, comme des agents de cancer, en particulier de lymphomes et de leucémies : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/14724672/ Dans ce vaccin, l’ADN est enrobé de lipides, ce qui lui permet de pénétrer dans la cellule et de s’intégrer dans le noyau avec des conséquences inconnues. Le vaccin a été vendu en prétendant contenir seulement des traces d’ADN, alors que nos expériences actuelles confirment qu’il contient 100 000 copies par ml, plus le plasmide entier qui lui permet de pénétrer dans le noyau. La précipitation avec laquelle ce vaccin a été préparé (milliards de doses en quelques mois) explique l’absence de contrôles et le risque incalculé de cette vaccination massive pour une épidémie qui aurait été mieux gérée par la pratique médicale quotidienne que par les philanthropiques milliardaires.

Un récent travail mené dans les pays d’Europe du Nord a montré qu’aucune mesure gouvernementale (confinement, masque, vaccin) n’a eu d’effet sur l’épidémie, et que seule la saison a joué un rôle : Quinn, G.A.; Connolly, M.; Fenton, N.E.; Hatfill, S.J.; Hynds, P.; ÓhAiseadha, C.; Sikora, K.; Soon, W.; Connolly, R. Influence of Seasonality and Public-Health Interventions on the COVID-19 Pandemic in Northern Europe. J. Clin. Med. 2024, 13, 334. Dans la prochaine étape, je vous expliquerai en détail comment les ARN injectés ont produit des protéines inconnues qui pourraient expliquer la survenue imprévue d’encéphalopathie de type Creutzfeld-Jakob liée aux prions fabriqués à cette occasion, ce que prédisait le Pr Montagnier.

Chères lectrices, chers lecteurs,

Soyez acteur du changement en soutenant un journalisme véritablement indépendant et de qualité en vous abonnant à notre média financé par les dons de personnes comme vous.

Accédez à des contenus exclusifs
et soutenez notre indépendance

Abonnez-vous

partagez cet article !

Pas encore de commentaire sur "Révélation Choquante : Des vaccins à ARNm contaminés par de l’ADN, selon le Professeur Patrick Provost"

Laisser un commentaire

Newsletter

La Boutique du 4-4-2

Santé

Accédez à des contenus exclusifs et soutenez notre indépendance

Abonnez-vous

Accédez à des contenus exclusifs et soutenez notre indépendance

Abonnez-vous

Accédez à des contenus exclusifs et soutenez notre indépendance

Abonnez-vous