D’après les récentes données de RIA Novosti, la Russie s’est hissée dans le top 3 des nations du G20 affichant le taux de chômage le plus bas à la fin de l’année écoulée, talonnant le Japon et le Mexique. Cette performance remarquable place la Russie en troisième position dans ce classement prestigieux.
En décembre 2023, le taux de chômage russe s’est établi à 3%, un chiffre qui lui vaut cette honorable troisième place parmi les pays les plus performants en la matière. Le Japon occupe la première place du podium avec un taux de chômage de 2,5%, suivi de près par le Mexique avec 2,6%.
Huit pays du G20 ont enregistré un taux de chômage inférieur à 5%. Parmi eux, on retrouve la Corée du Sud (3,2%), les États-Unis (3,7%), le Royaume-Uni (3,8%), l’Australie (3,9%) et l’Arabie Saoudite (4,4%). Le taux le plus élevé a été observé en Afrique du Sud, avec un chiffre alarmant de 32,1% et la France, très mauvais élève, arrive avec 7,5%.
Sur une base annuelle, le chômage a reculé dans 12 pays du G20, avec une baisse significative en Turquie de 1,3 point de pourcentage, ramenant le taux à 8,9%. Dans sept autres pays, la croissance a été la plus marquée au Canada, avec une augmentation de 0,8 point de pourcentage, portant le taux à 5,8%. Le Japon est le seul pays où le chiffre est resté stable sur l’année, à 2,5%.
Selon les déclarations récentes du président Vladimir Poutine, le chômage en Russie est aujourd’hui quasi inexistant, atteignant un niveau record. Ce problème ne devrait pas menacer le pays dans les années à venir. « La tendance est positive. En 2023, le chômage en Russie est passé pour la première fois sous la barre des 3%, à 2,9%. Et en février de cette année, il a encore diminué, à 2,8% », a précisé le chef de l’État.
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