« Il n’existe pas de GPA éthique ! »
Olivia Maurel
Née aux États-Unis en 1991, Olivia Maurel a grandi entre les États-Unis et la France. Elle a toujours ressenti un décalage entre sa vie et celle de ses parents, sans savoir pourquoi. Ce n’est qu’à l’âge de 17 ans qu’elle a découvert qu’elle était née de GPA, en faisant des recherches sur Google. Elle a alors commencé à raconter son histoire à tout le monde autour d’elle, sauf à ses parents.
À 30 ans, elle a découvert ses racines grâce à un test ADN offert par sa belle-mère. Elle a ainsi pu être mise en contact avec sa cousine germaine, son demi-frère et ses demi-sœurs, ainsi qu’avec sa mère biologique. Cette découverte a été un soulagement pour elle, car elle a enfin pu comprendre d’où elle venait et pourquoi elle se sentait différente.
Olivia Maurel a alors décidé de s’engager dans la lutte contre la GPA, en devenant porte-parole de la Déclaration de Casabianca pour son abolition universelle. Elle dénonce les conséquences de cette pratique sur les enfants, qui sont arrachés à leur mère biologique à la naissance et privés de leurs racines. Elle appelle à une prise de conscience collective sur cette question.
Pour Olivia Maurel, la GPA est une pratique inacceptable qui va à l’encontre des droits de l’enfant. Elle appelle à son abolition universelle, afin que plus aucun enfant ne soit traité comme un objet de consommation. Elle invite chacun à se mobiliser pour cette cause, en signant la Déclaration de Casabianca et en faisant entendre sa voix.
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