
Sarah Katz s’oppose farouchement à la politique actuelle du gouvernement israélien, qu’elle considère comme criminelle. Elle n’hésite pas à affirmer que le projet sioniste, antérieur à la Seconde Guerre mondiale et à la Shoah, est porté par une idéologie suprémaciste plus proche de celle des auteurs du massacre des Juifs d’Europe que de celle des victimes.
Pour elle, le sionisme est une idée selon laquelle certaines populations ont plus de droits que d’autres. Elle dénonce cette vision et souligne l’importance de lutter contre toutes les formes de racisme et de discrimination. Elle considère l’antisionisme comme un devoir pour toute personne croyant au vivre-ensemble.
Sarah Katz estime que la Palestine est une question qui concerne tout le monde, et pas seulement une « fixette militante » : la Palestine représente la dernière aventure coloniale et il est crucial que l’humanité s’oppose à ces idéologies. Elle appelle à briser l’attaque contre le peuple palestinien et à le rétablir dans ses droits, car cette lutte concerne chacun d’entre nous.
La militante met également en lumière la richesse de l’héritage culturel palestinien et déplore les destructions et les souffrances infligées à cette région du monde. Elle considère que la liberté est une question essentielle pour toute personne humaine et que chacun devrait avoir la possibilité de développer ses capacités et de découvrir le monde.
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