Newsguard kiss my ass ! Par Jean-Dominique Michel

La naissance du mouvement « Rudy Kiss My Ass »
Jean-Dominique Michel commence par un rappel des événements récents, notamment une grève sur Twitter initiée par trois désinformateurs, Tristan Mendes France, Julien Pain et Rudy Reichstadt. Ces acteurs ont dénoncé ce qu’ils estimaient être une plateforme de médias sociaux devenue un espace de haine et de désinformation. En réponse, un mouvement intitulé « Rudy Kiss My Ass » a été lancé sur les réseaux sociaux, montrant la frustration croissante envers la désinformation et la polarisation médiatique.

Les critiques envers les « tristes cires » et leurs alliés
Jean-Dominique Michel souligne les critiques envers les personnalités médiatiques telles que Karine Lacombe et Raphaël Enthoven, accusées de contribuer à la désinformation. Il s’interroge sur la légitimité de ces acteurs à donner des leçons, tout en rappelant les pratiques diffamatoires et la propagande qui leur sont attribuées.

La montée en puissance du mouvement « Rudy Kiss My Ass »
Jean-Dominique Michel évoque le mouvement « Rudy Kiss My Ass » qui a rapidement gagné en popularité sur les réseaux sociaux, suscitant des milliers de clics et de publications. Cependant, la suppression temporaire du hashtag par Twitter France a été suivie de signalements adressés à Elon Musk pour protester contre cette censure. Le mouvement a finalement repris de l’ampleur, avec une tonalité humoristique et critique envers les « tristes cires. »

Nous n’avons pas peur de vous Monsieur Reichstadt, nous voulons simplement vous remettre à votre place. C’est-à-dire en prison, pour recel de délit de favoritisme, recel de détournement de fonds publics, escroquerie et abus de confiance. Infractions commises en partie dans… pic.twitter.com/uXjAwxGfSh

— Régis de Castelnau (@R_DeCastelnau) October 29, 2023

Les réponses des personnalités médiatiques et les accusations de collusion
Les « tristes cires » ont réagi de manière victimaire en évoquant des complotistes. Jean-Dominique Michel remet en question leur présence fréquente sur les chaînes publiques, suggérant une collusion au plus haut niveau de l’État. Il mentionne également une enquête pénale et les efforts d’Alain Houpert pour demander une enquête sur des fonds supplémentaires avec des soupçons d’enrichissement.

Newsguard et ses liens controversés
L’exposé se tourne ensuite vers Newsguard, une entreprise qui prétend contrer la désinformation en évaluant la crédibilité des médias en ligne. Cependant, Jean-Dominique Michel souligne que Newsguard a des liens controversés, y compris avec la CIA et l’OTAN. Jean-Dominique Michel explique comment Newsguard favorise les médias institutionnels et l’establishment au détriment des médias indépendants, remettant en question sa prétendue impartialité.

La pression exercée par Newsguard sur les créateurs de contenu
Newsguard exerce une pression dissuasive sur les créateurs de contenu en ligne en incitant ses clients à retirer leurs publicités des sites web mal notés. Jean-Dominique Michel cite l’exemple de PragerU, une plateforme de formation en ligne, qui a été soumise à des exigences de la part de Newsguard pour cesser de critiquer certaines politiques et de se conformer à une la ligne éditoriale.

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