L’acte en lui-même est symbolique : embrasser un ennemi pour mieux l’étouffer. C’est ce que Meyer Habib, député franco-Israélien réputé pour sa défense acharnée d’Israël, a fait à l’égard de Jordan Bardella, figure montante du paysage politique français et beau gosse charismatique.
« Le RN est désormais piqué à mort. Ce n’est plus qu’une question de temps, il va mourir ! »
Le piège de ce baiser réside dans sa nature sournoise : en cédant les rênes du pouvoir à Bardella, Habib l’a placé dans une position de responsabilité sans échappatoire. Si quelque chose tourne mal, ce seront les mains de Bardella qui seront jugées, et non celles de Habib. Dans cette mise en scène politique, les véritables responsables de la catastrophe surgiront ensuite en sauveurs, récoltant la gloire et la gratitude du peuple. « Plus jamais ça ! » deviendra une sauce qu’on ajoutera à tous les plats.
« On sait que les moutons ont une capacité de réflexion et de mémoire aussi puissante que d’une endive de chez Lidl : le fautif, c’est Bardella ! »
Cette stratégie sournoise s’inscrit dans une longue tradition politique où les ennemis sont placés au pouvoir pour mieux les discréditer et récupérer le contrôle. Le scénario se répète : les erreurs seront mises sur le dos des nouveaux dirigeants du RN, tandis que les anciens de l’oligarchie reprendront les rênes en promettant de ne plus jamais confier le pouvoir à des « incapables ».
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