Puisque c’est « son projet », Macron est en train de détruire avec l’aide de sa clique les services de santé en France. Cela engendre évidemment de nombreux drames dans les hôpitaux… On se souvient de nos anciens retrouvés morts après une beaucoup trop longue attente sur un brancard de service d’urgence. Au CHU de Bordeaux, c’est une femme enceinte qui a perdu son futur bébé.
Un drame, provoqué par «un enchaînement de mauvaises circonstances et d’erreurs de jugement » est en effet arrivé dès le premier week-end de la régulation des urgences de Pellegrin. Selon plusieurs sources concordantes, une femme enceinte, admise dans la maternité du CHU, a été dirigée par la régulation vers les urgences de Bordeaux Nord, qui sous tension, l’ont renvoyée vers son point de départ. Si aucun signe ne permettait de détecter que son état était grave, le temps qu’elle soit prise en charge, il s’était considérablement dégradé. Au point de faire un choc septique et de perdre son futur bébé, mort dans son ventre.
«Tout le monde a voulu bien faire en appliquant les critères de tri», assure un médecin du service de Pellegrin. Il impute ce cas dramatique – pour lequel une enquête est en cours – à une défaillance du système des urgences de Bordeaux, que les soignants tiennent à bout de bras, plus qu’à de la mauvaise volonté. «Avant la régulation, nos patients étaient dans un couloir d’attente où ils pouvaient attendre jusqu’à huit heures. On a aussi eu des catastrophes », admet Paulin Besserve, chef de service adjoint aux urgences de Pellegrin. Passé de 120/140 entrées par jour à 80 et disposant désormais de 13 boxes de soins, le service parvient désormais à prendre en charge les patients graves dans un délai de quatre heures maximum.
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