Rachida Dati, nouvelle ministre de la Culture, n’hésitait pas non plus à pointer du doigt les « traîtres » au sein de la politique française, tant à gauche qu’à droite.
Depuis 2021, elle fait face à des accusations de corruption et trafic d’influence dans une affaire liée à une filiale de Renault. Soupçonnée d’avoir touché 900 000 € sur trois ans, Dati est pointée du doigt pour son lobbying présumé en France. Une qualité requise pour rentrer au gouvernement ?
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