À propos des risques de la vaccination contre le covid des femmes enceintes ou allaitantes, les documents divulgués confirment que Pfizer mène une étude depuis février 2021 et qu’elle est toujours en cours en février 2022. Pfizer ne sait donc toujours pas quelle est l’étendue des risques de son vaccin pour les femmes enceintes. Évaluer la balance bénéfices-risques est donc impossible. Le décès d’un bébé de 5 mois a été signalé en mars 2021. Vous pouvez consulter la déclaration de décès là. En voici la traduction :
« La patiente a reçu la deuxième dose du vaccin Pfizer le 17 mars 2021 alors qu’elle était au travail. Le 18 mars 2021, son bébé de 5 mois allaité au sein a développé une éruption cutanée et dans les 24 heures, il était inconsolable, refusait de manger et avait de la fièvre. La patiente a amené le bébé aux urgences locales où des évaluations ont été effectuées, l’analyse de sang a révélé des enzymes hépatiques élevées. Le nourrisson a été hospitalisé, mais son état a continué à décliner et il est décédé. »
Un enfant de 2 ans est mort d’hémorragie le jour même de l’injection, le 18 novembre 2021 (déclaration de décès là). Et pourtant, malgré l’incertitude de Pfizer sur les effets de ses injections sur les femmes enceintes et allaitantes, Olivier Véran n’a pas hésité à les recommander par un coup de com en juillet 2021. Les indécises ont eu droit à une phrase à destination des « mal-comprenantes » : « La grossesse ne protège pas contre le Covid-19, le vaccin si. » Un foutage de gueule pour cacher un abus de pouvoir autrement plus brutal : « Le vaccin est 100 % efficace contre le confinement ». Mais là, on sort de la sphère du médical pour entrer dans les eaux troubles du politique et du contrôle.
Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.