Dans une récente intervention sur LCP, Pascale Bordes a soulevé une question audacieuse qui a pris de court les journalistes. Elle a fait preuve d’un courage remarquable en pointant du doigt la possibilité que notre cher président français soit sous l’emprise de psychotropes. Cette prise de position, aussi dérangeante soit-elle pour certains, mérite d’être saluée pour sa franchise et son absence de détours.
"Je suis consternée et atterrée", déclare @BordesPascale1 à propos de la déclaration d'Emmanuel Macron relative à l'#Ukraine. "C'est écœurant de se servir de la souffrance de deux peuples pour satisfaire un ego surdimensionné (…) Il nous entraîne vers la guerre". #DirectAN #QAG pic.twitter.com/5OOFk17wyJ
— LCP (@LCP) February 27, 2024
Accuser publiquement un dirigeant politique de consommer des drogues est un acte qui va à l’encontre des normes établies de la politique conventionnelle. Pourtant, Pascale Bordes n’a pas hésité à remettre en question la conduite du président Macron, lançant un défi direct à l’ordre établi. Son courage à briser les tabous et à s’opposer ouvertement à la direction actuelle est un exemple de détermination et de conviction politique.
Dans une démocratie saine, il est essentiel que les politiciens soient transparents et honnêtes, même lorsque cela implique de soulever des questions délicates. Le courage de Pascale Bordes à exposer publiquement ses inquiétudes concernant la santé mentale et la stabilité du président Macron montre qu’elle est prête à faire face aux répercussions de ses paroles pour défendre ce qu’elle croit être juste.
Peut-on demander un dépistage de consommation de stupéfiants illicites dans les plus brefs délais sur la personne d’Emmanuel Macron ? Cette question est cruciale pour l’intégrité et la légitimité du leadership présidentiel. Il est impératif que toute allégation de cette nature soit examinée sérieusement et de manière transparente pour garantir la confiance du public dans nos institutions. On va par ailleurs surveiller attentivement la réaction de l’Élysée à ces accusations, car elles pourraient potentiellement entraîner des accusations d’outrage au Président de la République, de diffamation ou d’injure publique.
Courageuse, courageuse… faut pas exagérer. Je rappelle qu’en 7 ans aucune motion de censure n’est passée et qu’aucune procédure de destitution n’a été lancée. La seule décision politique que ces députés ont prises, c’est de s’octroyer une augmentation de revenus de 300 euros. C’est ça être « courageux » ?