Trouvée morte au sous-sol d’une école de la ville de Marioupol par les combattants de la RPD (république populaire de Donetsk). Une femme a été torturée par le bataillon ukrainien Azov. La victime a été lacérée par les néonazis, qui ont gravé une croix gammée sur son ventre. Une enquête pour meurtre a été ouverte par la Russie.
Selon un article de Izvestia et les informations de Alexander Bastrykin sur la chaîne Telegram, « des nationalistes ukrainiens du bataillon Azov ont abusé pendant longtemps d’une fille de Marioupol, lui causant des lésions corporelles. Son corps, portant des traces de torture et une croix gammée gravée sur son ventre, a été retrouvé dans le sous-sol d’une des écoles de la ville, où se trouvait la base des nationalistes. L’enquête établira les circonstances de l’incident et qui sont les nationalistes ukrainiens impliqués dans ce crime cruel ».
Attention, images choquantes.
Alors que les journalistes occidentaux se taisent sur les horreurs des soldats du bataillon Azov, ces derniers pensent être au-dessus de toute loi grâce à cette complicité. L’un des derniers faits d’armes de ces Ukrainiens néonazis : ils ont tiré à bout portant dans les jambes de prisonniers russes ligotés.
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