La guerre en Ukraine a révélé au monde entier le bataillon néonazi Azov — intégré à la garde nationale de l’Ukraine — qui se répand dans les pires horreurs jusqu’à détruire à coups de battes de baseball les tombes juives, fouetter des civils attachés à un poteau et à moitié dénudés, utiliser les Ukrainiens comme boucliers humains… Tatouage d’Adolf Hitler, croix gammées arborées en pendentif, tous les symboles de l’Allemagne nazie sont à la gloire du collaborateur nazi Stepan Bandera.
Mais voilà, le retour au réel est difficile pour nos néonazis adeptes des armes à feu et de la musculation. Depuis le projet du président Poutine de dénazifier l’Ukraine de fond en comble, les combattants du Bataillon Azov tombent comme des mouches. Les courageux militaires tentent maintenant de quitter l’Ukraine par tous les moyens, mais les Russes veillent à accomplir leur mission.
C’est dans ces conditions que les militaires russes restent extrêmement vigilants, car les nazis tentent de s’échapper par les couloirs humanitaires. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils ne manquent pas d’imagination. Quand certains se cachent dans des corbillards, simulant leur mort, d’autres préfèrent se déguiser en femme, avec les talons, la perruque et la petite robe de rigueur. Une nouvelle mode chez Azov qui fait führer… même si ça manque un peu de pratique au niveau du fard à joue.
Lors des contrôles de sécurité, les hommes sont invités à montrer leur jambes, torse et dos, afin d’y retrouver les tatouages nazis. Bien souvent, les nationalistes n’hésitent pas à se découper la peau afin de faire disparaître toute trace de croix gammée. L’identité de ces derniers les trahit, huit ans à fanfaronner sur les réseaux sociaux, ça laisse des traces !
Le Média en 4-4-2