Bien que le fondateur de Tesla et SpaceX, Elon Musk, mette en avant des intentions louables, visant à aider les patients handicapés à recouvrer l’usage de leurs membres, il a également exprimé son désir de démocratiser ces implants cérébraux. En effet, il envisage une interface cerveau-machine qui faciliterait le contrôle d’ordinateurs par des signaux cérébraux, prétendant ainsi anticiper les dangers de l’intelligence artificielle.
Les critiques se font entendre face à cette avancée, notamment à travers les paroles de Stanilas Berton, expert en neurotechnologies. Berton souligne le caractère relativement obsolète de Neuralink, affirmant que la technologie a environ dix ans de retard par rapport aux avancées réelles dans le domaine des interfaces cerveau-machine. De plus, il met en lumière le danger potentiel de contrôle mental à distance grâce à des nanoparticules, suscitant des inquiétudes sur la sécurité neuronale et les implications de ces avancées technologiques.
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