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Découvrez le parcours étonnant de Gabriel Attal, du club Bilderberg au gouvernement français.

En attendant le prochain remaniement ministériel qui ressemble plus à une danse du balai (« Prenez un gros balai avec un gros manche ») qu'à un jeu de chaises musicales, nous vous présentons un homme politique populaire dans les sondages. Comme Emmanuel Macron en 2017, il semble tiré du chapeau d'un illusionniste. Voici donc Gabriel Attal !

mise à jour le 10/01/24

Gabriel Attal, homme politique en vue, dévoile une trajectoire intrigante du club Bilderberg au gouvernement français.

Son père, Yves Attal, d’une famille juive tunisienne et alsacienne, a été avocat puis producteur de cinéma. Gabriel , jugeant ce patronyme néfaste à sa carrière, se faisait appeler Gabriel Attal de Couriss (en ajoutant le nom de sa mère). Une astuce pour ne pas se faire remarquer dans la très sélective Ecole Alsacienne. Juan Branco la décrit ainsi dans Crépuscule :

« Tout est affaire de reconnaissance sociale, et rien ne passe par le contenu. En cela, l’école est une parfaite préparation à ce que deviendra notre société, où ne réussissent que des individus sélectionnés par leur capacité à tenir l’apparence de domination, ses us et ses coutumes, et aucunement par leur capacité à produire un quelconque fond. »

Admis en 2007 à Sciences Po, Gabriel Attal obtient sans se presser un master 2 en 2023. Entre-temps, de 2009-2010, du temps où Frédéric Mitterrand était ministre de la Culture, il effectue une mission à Rome auprès d’Éric de Chassey, directeur de la villa Médicis.

Travailler ? pas le temps !

Grâce à Benjamin Griveaux, Gabriel Attal effectue un stage à l’Assemblée nationale auprès de Marisol Touraine, avant d’entrer en 2012 au cabinet de la ministre de la Santé. Préposé aux discours, puis conseiller politique, il végète jusqu’en 2017. Avec LREM, ses relations et Stéphane Séjourné, son ex-mari, son ascension est fulgurante. Il franchit allègrement les marches de la République : député, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale, puis du Premier ministre, ministre délégué des Comptes publics.

Du club Bilderberg aux plus hautes fonctions

Après avoir participé au club Bilderberg en mai 2023, Gabriel Attal devient ministre de l’Éducation nationale en juillet. C’est une tradition Bilderberg. Emmanuel Macron avait participé au club en mai-juin 2014, tout juste avant d’être nommé ministre de l’Économie, le 26 août 2014. Edouard Philippe lui aussi avait été invité en 2016, puis, par pur hasard, nommé Premier ministre en 2017. Création de l’Otan, donc des États- Unis, le club Bilderberg est un embryon de gouvernement mondial par les banques, hommes d’affaires et propriétaires de médias.

Les invitations ont été faites jusqu’à présent par Henry Kissinger, expert en coups d’État, guerre, attentats divers et variés et… prix Nobel de la paix.

Comme Sarkozy et Hollande, ces participants macroniens au Bilderberg sont des Young Global Leaders. Et qui a inventé les Young Global Leaders ? Klaus Schwab ! Nous voici renvoyés au Forum économique mondial, dont le dirigeant avoue aux médias ses intentions mondialistes, contrairement aux clubs plus discrets que sont la Trilatérale et Bilderberg.

Des ministres choisis par le Forum économique mondial

Pendant que Gabriel est envoyé se promener dans le Pas-de-Calais, Emmanuel établit sa liste de futurs ministres avec l’aide d’Emmanuel Moulin (banquier proche du secrétaire général de l’Elysée, Alexis Kohler). Darmanin peut être joué placé. Bruno Le Maire sera-t-il au départ de la course ? Réponse à Davos. Klaus Schwab s’était vanté de son pouvoir :

« Nous pénétrons dans les cabinets mondiaux des pays avec nos jeunes dirigeants mondialistes du WEF, comme Justin Trudeau et plus de la moitié de son cabinet. » « Un remaniement d’ampleur aura lieu autour du 15 janvier », avait annoncé Emmanuel Macron en décembre dernier. Pourquoi le 15 ? Réponse : ce jour-là, le président a rendez-vous à Davos… Schwab est l’arbre qui cache la forêt des décideurs américains. Macron soumettra donc sa liste de soumis à Larry Fink (BlackRock, reçu à l’Élysée dès juin 2017), Al Gore (ex-président démocrate, homme d’affaires et néanmoins écologiste), sans oublier les représentants de Goldman Sachs, Pfizer, Nestlé, CocaCola… et les fondations philanthropiques de Soros, Bill Gates…

Thème de Davos 2024 : « Une intelligence artificielle plus ouverte peut-elle sauver l’humanité ? » Certains discours de Macron aux accents de méthode Coué laissent penser que c’est déjà fait : « L’Europe est compétitive, même une intelligence artificielle l’affirme ! » Le nouveau gouvernement serait-il composé de zombies programmés par l’IA, elle-même programmée par l’État profond américain ?

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