17 000 morts : Comment la corruption a fait de l’hydroxychloroquine sa cible préférée

Derrière ce jeu trouble se cache une série de manœuvres insidieuses. La falsification délibérée d’études pour discréditer des remèdes reconnus parmi les plus fiables de la pharmacopée s’est avérée être une stratégie récurrente. Ces actions malveillantes sont alimentées par un harcèlement constant envers les scientifiques qui remettent en question les intérêts de l’industrie pharmaceutique, perturbant ainsi leur travail et leur recherche. Les exemples ne manquent pas…

ÉTUDE BIDON contre l'hydroxychloroquine :
Comment fonctionne la CORRUPTION de la RECHERCHE ?
Ce qu'il faut savoir en moins de deux minutes – et que les crétins de journalistes aux ordres font semblant de ne pas comprendre… pic.twitter.com/QRSdZsK3UE

— Michel Jean-Dominique (@MichelJeanDomi1) January 5, 2024

Cette corruption va plus loin : des alliances douteuses entre des scientifiques, des institutions et des entreprises corrompent la crédibilité de la recherche. La manipulation des autorités sanitaires par ces entités compromet l’intégrité des décisions fondées sur des preuves scientifiques. Et lorsque ces manigances sont mises au jour, les correctifs nécessaires tardent à venir, laissant planer le doute et décrédibilisant davantage la démarche scientifique.

La vérité est claire : la course à la crédibilité dans le domaine de la santé exige désormais une adhésion tacite à cette manipulation généralisée de la recherche. Ceux qui refusent d’y souscrire voient leur carrière compromise, excluant toute opportunité professionnelle dans ce domaine. Il est crucial de reconnaître que cette tromperie généralisée déforme la réalité scientifique et compromet la confiance du public envers les avancées médicales. Le marketing manipulé sur la base d’études truquées ne fait qu’aggraver le problème, sapant les fondements mêmes de la recherche légitime.

17000 morts? Même les médias belges disent que ce calcul est faux, sur cette étude déjà débunkée en 2023.
L'#hydroxychloroquine n'est pas toxique au bon dosage, ils ont "estimé" des morts,pas de vraies morts,se basant sur Recovery qui s'est planté sur le dosage (2400 vs600mg) 1/2 pic.twitter.com/0aDP31HaJp

— Momotchi (@mmtchi) January 6, 2024