Les injections d’anti-covid ne sont pas des vaccins

mise à jour le 11/09/21

Pour nous alerter contre la manipulation médiatique et étatique sur « vaccin » covid-19, Robert Francis Kennedy Jr, l’avocat canadien Rocco Galati, le Dr David Martin et la scientifique Judy A. Mikovits se sont réunis. Le Dr David Martin nous explique dans cette vidéo que ce qui est appelé vaccin anti-covid n’est pas un vrai vaccin. Il sait bien de quoi il parle, puisqu’il a fondé une société internationale d’analyse d’actifs incorporels — dont font justement partie les brevets. Nous adressons un grand merci à Jeanne pour sa traduction.

Les vrais vaccins inactivent ou atténuent leurs agents pathogènes

Dans les vaccins vivants atténués, le pouvoir pathogène du virus ou de la bactérie est atténué par différents procédés.
Dans les vaccins inactivés les agents infectieux ont été tués avec un produit chimique ou par la chaleur. Ils sont donc totalement inoffensifs, tout en restant capables de susciter une réponse du système immunitaire.

L’ARNm crée des agents pathogènes
Encapsulé dans une enveloppe de graisse, l’ARNm de la partie très contagieuse du virus est injecté et livré à une cellule. Ce dispositif amène la cellule humaine à devenir un créateur d’agents pathogènes. On vous injecte une substance chimique pour induire une maladie et non pour provoquer une réponse immunitaire contre la transmission. En fin de compte votre propre système immunitaire s’attaquera à votre organisme. Ce sont vos cellules qui vous rendront malade (80 % des personnes qui se font injecter cette substance subissent un événement clinique indésirable). La réponse auto-immune peut provoquer la sclérose en plaques, la maladie d’Alzheimer, un cancer…

 

Les vrais vaccins perturbent la transmission du virus

Tout en stimulant une immunité contre l’agent infectieux d’une maladie, les vaccins stoppent la contamination.

L’ARNm n’arrête pas la transmission. En effet, le brin d’ARNm qui entre dans la cellule n’est pas là pour arrêter la transmission. C’est un traitement, mais si cela avait été envisagé comme un traitement, il n’aurait pas reçu l’agrément des autorités de santé publique en tant que vaccin. Tant qu’il existe un traitement, les vaccins ne reçoivent pas l’AMM. D’où l’importance de classer l’hydroxychloroquine — pourtant utilisée sans problème durant 70 ans – dans la catégorie des substance vénéneuses. D’où le black-out sur l’ivermectine, entre autres. Imaginez, si les malades du VIH avaient dû attendre trente ans un vaccin (qui n’a toujours pas été découvert) et que les traitements aient été interdits ! Depuis dix ans, ils ont fait diminuer de 53 % les décès des femmes et de 41 % ceux des hommes atteintsde VIH. Heureusement le Covid-19 est loin d’être le virus extrêmement dangereux présenté par les médias de masse.

Une thérapie génique n’est pas un vaccin

Aucun principe de précaution n’a empêché l’Union européenne d’autoriser les producteurs de vaccins et de traitements anti-Covid19 contenant des OGM de se passer d’étude d’impact environnemental et de biosécurité avant le démarrage d’essais cliniques.

Ce règlement 2020/1043, adopté le 15 juillet 2020, « a supprimé toutes les procédures de protection, d’analyse du risque, de contrôle, de suivi, d’étiquetage et d’information du public concernant l’utilisation, le transport, la dissémination dans l’environnement, l’injection aux êtres humains d’organismes et de micro-organismes génétiquement modifiés dès qu’il s’agit de recherches ou essais cliniques sur un vaccin ou un médicament contre la Covid-19 ».

Les « vaccins » sont plus rentables que les médicaments

Moderna était à l’origine une entreprise de chimiothérapie contre le cancer et non un fabricant de vaccins contre le SRAS. Si nous disions que nous allions donner aux gens une chimiothérapie contre le cancer qu’ils n’ont pas, ils vous riraient au nez. Impossible de convaincre une personne en bonne santé de prendre un traitement. En revanche, elle pourra se croire obligée de se faire vacciner. Pour cela le concept de « porteur asymptomatique » a été créé : 80 % des personnes exposées au prétendu SARS-CoV2 en feraient partie. Il fallait cet argument, car les vaccins peuvent rendre malades des personnes en bonne santé. il est donc nécessaire de les convaincre qu’elles sont malades sans le savoir. Les laboratoires rendent ainsi hommage au Dr Knock pour lequel  « Tout bien portant est un malade qui s’ignore ». Ils savent qu’un marché de quelques malades ou de quelques hypochondriaques n’est pas rentable. En revanche obliger la population de toute la planète à être vaccinée, c’est ça qui permet d’entrer au classement Forbes des grandes fortunes (neuf nouveaux milliardaires l’ont rejoint cette année, tous actionnaires de laboratoires…). Qu’importe que le nombre de personnes concernées multiplie les risques.

 

Les laboratoires ayant terminé les phases I (in vitro) et II (sur les animaux) des essais de leurs prétendus vaccins, vous êtes les cobayes de la phase III. Inutile de vous dire que, en cas d’effets indésirables, vous n’avez même pas les garanties des cobayes volontaires. Vous êtes les seuls bénévoles dans un secteur où seul compte l’argent.

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.

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