Alors que les discussions tournaient sur la guerre en Ukraine et ses conséquences sur les belligérants, Meyer Habib, fidèle à lui-même, a fait de son mieux pour ramener la conversation à son sujet préféré : Israël. Parce, vous savez, parler de l’Ukraine sans mentionner Israël est une faute grave selon la logique tordue de notre député sioniste jusqu’à la moelle.
Mais hélas, le président de la commission des Affaires Étrangères, Jean-Louis Bourlanges, n’était pas d’humeur à se laisser emporter dans le tourbillon narcissique de Meyer. Il a donc gentiment rappelé à ce dernier qu’il avait dépassé son quota de bavardage pour la journée.
Et c’est là que les choses ont commencé à devenir intéressantes. Voyant son moment de gloire menacé, Habib a crié à l’injustice, dénonçant un complot visant à le faire taire. « Comment osent-ils limiter mon temps de parole !? » aurait-il pu s’exclamer, si seulement il avait ajouté un peu plus de drame à son départ.
Jean-Louis Bourlanges, visiblement las de cette mascarade, a alors lancé un ultimatum à notre diva parlementaire : « Respectez l’autorité ou sortez« . Et devinez quoi ? Habib a choisi la porte de sortie, non sans ajouter un peu de dramaturgie en claquant la porte derrière lui.
Ce matin, Meyer Habib, dans une commission où ça parle de la guerre en Ukraine, ne peut pas s’empêcher de parler d’Israël et quand le président Bourlanges lui rappelle son temps de parole, il part littéralement en cacahuète en faisant jeter ses feuilles et claquant la porte. 🤡 https://t.co/WYwrRCD0bT pic.twitter.com/cW8VEmEI9i
— Cory Le Guen ⏚ (@coryleguen) February 28, 2024
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