L’affaire du salaire d’Amélie Oudéa-Castera à la tête de la Fédération Française de Tennis a récemment éclaté au grand jour, suscitant un véritable scandale. Devant la Commission d’enquête parlementaire, la ministre des Sports a admis avoir perçu un salaire considérable de 500 000 € par an pendant son mandat à la FFT, avant sa nomination ministérielle. Ce qui semblait être une révélation choquante a été suivi par un développement encore plus troublant : alors qu’elle avait déclaré devant les parlementaires que la FFT ne recevait pas de financement public, elle a depuis avoué que l’État avait versé une subvention substantielle à la fédération en 2022.
🤬 UNE CLASSE DIRIGEANTE TOTALEMENT HORS-SOL
Quand les historiens étudient, avec le recul du temps, les prémisses des révolutions (française, bolchévique, maoïste, iranienne, etc.), ils sont toujours étonnés de l'aveuglement des classes dirigeantes face à la montée des périls… pic.twitter.com/KPBCNbc8na— François Asselineau (@f_asselineau) November 17, 2023
Cette subvention de 1 280 600 €, provenant de l’Agence Nationale du Sport, aurait été largement absorbée par le salaire de la ministre, laissant entrevoir un détournement présumé de fonds publics. Cette situation risque non seulement de conduire à des poursuites judiciaires à l’encontre de la ministre pour avoir potentiellement « siphonné » une part importante des fonds publics, mais également de mettre en lumière des accusations de parjure en raison de ses déclarations contradictoires devant la Commission parlementaire.
Pour en savoir plus sur cette affaire, consultez l’article du Monde.
Pas encore de commentaire sur "Le salaire de 500 000 € de la Ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castera, à la tête de la Fédération Française de Tennis vire au scandale"