Invitée sur « Ligne Droite », Aude Mirkovic, juriste et porte-parole de l’association des Juristes pour l’enfance, dénonce la propagation d’une idéologie LGBT chez les enfants. Elle est également l’auteur de « Questionnements de genre chez les enfants et les adolescents », aux éditions Artège.
La circulaire Blanquer invoque l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour affirmer que le décalage entre le genre de naissance et le genre vécu n’est pas le symptôme d’un trouble psychiatrique, mais doit être plus que toléré : encouragé. Le Conseil d’État annonce avoir validé cette circulaire.
« Si la demande est faite avec l’accord des deux parents de l’élève mineur, il s’agit alors de veiller à ce que le prénom choisi soit utilisé par l’ensemble des membres de la communauté éducative, le respect de l’identité de genre d’un élève ne devant pas être laissé à la libre appréciation des adultes et des autres élèves. »
Le terme « genre », qui est une représentation individuelle pouvant changer, remplace « sexe » qui est un rôle dans la reproduction et ne peut être changé. Accepter qu’un fantasme infantile soit considéré comme une réalité revient à nier on seulement la réalité, mais aussi la responsabilité des adultes.
Objectif : la suppression des liens sociaux, familiaux et même la possibilité de l’homosexualité. Tout cela pour le plus grand profit des chirurgiens plasticiens, des puissances financières qui attaquent les structures éducatives et familiales qui pourraient leur résister, à présent que syndicats et partis politiques ont été réduits à néant.
Le Média en 4-4-2