Alors que la France apprend la fellation, la sodomie, le cunnilingus et le changement de sexe à des CM2. Le Kremlin se positionne totalement à l’opposé de notre ministre de l’Éducation nationale, Pap Ndiaye. La Russie intensifie son contrôle des médias en adoptant des critères d’évaluation pour les contenus promouvant les relations LGBT et le changement de sexe. L’agence fédérale Roskomnadzor dispose désormais du pouvoir de déterminer si ces contenus sont prohibés ou non.
D’après un décret publié sur le portail officiel d’information juridique, les sites diffusant des contenus faisant la promotion des relations sexuelles non conventionnelles et cherchant à en persuader de l’attrait seront inscrits au registre unifié des sites prohibés par Roskomnadzor. De même, les sites propageant des contenus visant à altérer la perception négative des relations non conventionnelles en imposant des informations à leur sujet seront également prohibés. Cette mesure s’inscrit dans la lignée de la politique anti-LGBT menée en Russie.
Selon l’agence TASS, l’ordonnance a été publiée lundi sur le portail officiel d’information juridique. Selon l’ordonnance, les sites seront interdits s’ils publient les informations suivantes :
- La diffusion de contenus mettant en avant les bénéfices du changement de sexe, dans le but de susciter une perception favorable de cette démarche.
- des informations faisant la propagande pour les relations sexuelles non traditionnelles ;
- Des informations cherchant à persuader de l’attrait des relations sexuelles non conventionnelles, des préférences et des comportements, y compris en façonnant une image favorable des individus engagés dans des relations sexuelles non conventionnelles.
- Des informations cherchant à donner une image erronée de l’égalité sociale entre les relations sexuelles conventionnelles et non conventionnelles.
L’ordonnance entrera en vigueur le 1er septembre 2023.
Le Média en 4-4-2.