Alors certes, ses pertes notionnelles semblaient colossales, mais c’est vite oublier la dette encore plus abyssale d’acteurs louches comme le Groupe Altice par exemple, qui est dans une situation comptable tout aussi désastreuse et qui demeure ardemment protégé en haut lieu. De même, les banques-zombies abondent depuis 2008, avec des pertes notionnelles bien pires que celles de la Silicon Valley Bank. Posons donc la question: que cache cette faillite ?
Le Média en 4-4-2.