Quand Gabriel Attal parle du projet présidentiel du futur candidat Emmanuel Macron pour 2022, le porte-parole souhaite « Dans l’après-Covid […], on veut poursuivre la redéfinition de notre contrat social, avec des devoirs qui passent avant les droits, du respect de l’autorité aux prestations sociales ».
Pour Fabrice Di Vizio cela remet en cause ce qui est gravé dans le marbre : « Le contrat social est ce qui fonde la cité. Il n’appartient pas à un gouvernement de le changer, ou alors il fait basculer l’Etat de droit en tyrannie. Gabriel Attal vient de définir la tyrannie parfaitement lorsqu’il dit “moi si, je suis élu je change de contrat social”. Tu peux pas faire ça. Tu peux pas parce que ça c’est la Déclaration des Droits de l’Homme qui fixe le contrat social et il est consubstantiel à la forme de l’Etat. »
Me Divizio prévient les électeurs du vote qu’ils apporteront à Macron : « Donc nous avons Emmanuel Macron qui décidera, s’il est élu, de changer le contrat social et donc celui qui aujourd’hui vote pour Emmanuel macron, eh bien il sait que Emmanuel Macron propose d’instaurer une tyrannie. »
Et pour corroborer les propos de Me Divizio, laissons la parole à notre dictateur en herbe :
Le Média en 4-4-2