Une nomination controversée
Le choix de Nicole Belloubet pour diriger le ministère de l’Éducation nationale est une véritable provocation pour les parents d’élèves. Son passé politique et ses actions précédentes, notamment en tant que Garde des Sceaux, ont suscité de vives critiques et soulèvent des doutes sérieux quant à sa capacité à gérer efficacement le système éducatif. Les parents, les enseignants et les citoyens se demandent légitimement si elle est la personne la plus qualifiée pour ce poste crucial. Il n’y avait qu’elle de disponible ?
Du temps où elle était ministre de la justice, Belloubet avait laissé 20.000 membres du Comité Adama manifester devant le Tribunal de Paris, pendant que la police du régime infligeait des amendes à des mamies qui se trompaient de dates sur leur attestation pour aller acheter du… pic.twitter.com/SdPSaB33Hq
— Kim Jong Un ᵖᵃʳᵒᵈⁱᵉ (@KimJongUnique) February 9, 2024
Des antécédents discutables
Les antécédents de Nicole Belloubet ne laissent pas indifférents… Sa décision controversée de libérer des milliers de prisonniers pendant la crise du Covid-19 a profondément choqué l’opinion publique. De plus, des omissions dans sa déclaration de patrimoine ainsi que des prises de position controversées, notamment sur des sujets comme l’autorité et la laïcité, alimentent les inquiétudes quant à sa vision de l’éducation et de la société.
Nicole #Belloubet En 2017, elle avait « oublié » de déclarer
336 000€ de biens immobiliers. Pendant le Covid, elle avait libéré des milliers de prisonniers Elle voulait faire disparaître la fonction “Ministre de l’éducation nationale“ #UneCinglée Source @JuniorGuibole pic.twitter.com/fdnO9VpfOm— 🕊️Myriam🕊️Sauvons L’humanité🕊️@CelebritesSM🕊 (@Resistance_SM) February 9, 2024
Un signal inquiétant
La nomination de Nicole Belloubet à la tête de l’Éducation nationale envoie un signal inquiétant quant à la vision et aux priorités du gouvernement en matière d’éducation. Au lieu de choisir une personnalité capable d’insuffler un nouvel élan et de résoudre les défis majeurs auxquels est confronté le système éducatif français, Macron opte pour une forme de statu-quo. Cette décision risque de compromettre davantage la confiance des parents et des enseignants dans l’avenir de l’éducation en France.
Elle fut une bien piètre Garde des Sceaux, la voilà à l'Education Nationale !
Rappelons que Mme Belloubet, alors membre du Conseil Constitutionnel fustige "les fariboles sur la restauration de l'autorité ou le
port de la blouse" alors que le gouvernement Attal expérimente le… pic.twitter.com/H85xc1yf83— Flore Lange 🇫🇷🇮🇹 (@flore1712) February 9, 2024
Une rupture avec la cohérence
Cette nomination soulève également des questions sur la cohérence et la stabilité du gouvernement Macron en matière de politique éducative. Les divergences flagrantes entre ses positions et celles de Gabriel Attal, son prédécesseur si on ne tient pas compte du passage plus qu’éclair d’Amélie Oudéa-Castéra (28 jours !), sur des questions cruciales telles que l’autorité et la laïcité, soulignent l’absence d’une vision claire et unifiée pour l’éducation en France. Cette incohérence risque de compromettre la capacité du gouvernement à mettre en œuvre des réformes éducatives efficaces et durables.
Le casting gouvernemental est conforme à la logique d'un pervers narcissique qui mène un projet de destruction généralisée du pays.
Belloubet, le retour, en est la meilleure illustration.
Le seul point notable c'est le talent des journalistes qui font semblant de s'en étonner.🤪— Caty (87), gauloise sans filtre (@LaColitruche) February 9, 2024
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