La première bourde de la ministre est intervenue lorsqu’elle a comparé l’attente du remaniement gouvernemental à l’attente des résultats d’un diagnostic de cancer. Cette analogie, complètement indécente, a été suivie d’une tentative maladroite de justification de la part de Dominique Faure, qui a finalement dû présenter des excuses.
La seconde erreur grave de la ministre est survenue lorsqu’elle a affirmé que le président Macron avait déjà respecté toutes les libertés des salariés, suscitant une vague d’indignation. Ses propos ont été perçus comme une négation de la réalité des droits fondamentaux, notamment en ce qui concerne le droit de manifester.
Les connes, ça ose tout, n’est-ce pas !?