« Je suis désespérée pour moi, pour l’investissement que j’ai donné, pour les dix-huit heures de travail quotidiennes, qui risquent d’être réduits à néant ! Je suis désespérée pour mon mari, je suis désespérée pour mes salariés, pour leur avenir, je suis désespérée pour mes collègues : trente-cinq mille collègues artisans. Donc voilà, je pense que chacun doit prendre conscience de ce qui risque de se produire dans les prochains mois, parce que notre avenir d’artisan d’artisans-commerçants, il est plus que jamais menacé. »
Le Média en 4-4-2.