Tests : un délire paranoïaque à 9 milliards d’euros, par Pierre Chaillot

Absence de morts, absence de malades, absence de saturation hospitalière, pandémie de cas positifs sont l’entrée en matière de cette vidéo qui s’appuie toujours sur les chiffres officiels comme ceux de la Drees.

Bref, encore aujourd’hui en 2023, on a le nez qui coule = on a le covid = ALERTE faut vacciner tout le monde !

Historiquement en 2020 dans les faits, Pierre Chaillot, je cite :

« nous avons en 2020 une quarantaine de Chinois malades d’une pneumopathie en pleine hiver dans un endroit extrêmement pollué de 11 millions d’habitants. »

Nous observons ensuite une parfaite synchronisation calendaire entre décisions administratives et résultats de tests positifs, résultats positifs décorrélés des symptômes qui identifient normalement, prioritairement un malade…

Si nous faisions un test de grossesse à toute la population, il y aurait des garçons de 10 ans qui seraient positifs, cela ne les rendraient pas pour autant « enceinte » ! Aujourd’hui pour le test covid, il n’y pas cette séparation test/symptôme.

Ici par exemple, le premier pic est dû à l’obligation vaccinale de Juillet 2021 qui a créé une forte demande de tests et donc + de résultats positifs, que les personnes soient malades, ou pas… :

Sur les 3 graphiques suivants, nous observons l’évolution des vaccinés et non vaccinés au résultat positif. L’influence est directement liée à la politique et ses comportements induits où les tendances s’inversent carrément dans le temps. En effet, suite au début de la politique vaccinale, seuls les non-vaccinés étaient obligée de faire des tests… donc évidemment il y a des cas positifs supérieurs aux vaccinés plus obligés de faire ces mêmes tests… Ensuite l’augmentation des cas positifs chez les vaccinés multidoses (courbe noire rappel) évolue jusqu’à être supérieure aux non-vaccinés ! Ce serait possible par le fait que ces personnes vaccinées multidoses, convaincues du « virus de la mort qui tue », continuent de se faire tester.