Étude alarmante : une hausse des délinquants sexuels masculins se revendiquant « transgenres » dans les prisons pour femmes

mise à jour le 14/07/23

La question des hommes qui se prétendent « transgenres » pour s’infiltrer dans les prisons réservées aux femmes a connu une escalade ces dernières années, et une récente étude démontre une hausse croissante du nombre de délinquants sexuels masculins qui revendiquent une identité « transgenre ».


En août dernier, le site d’information Townhall a rapporté comment dans le New Jersey un prisonnier nommé Demi Minor, qui a déclaré s’être identifié comme une femme, a fini par violer deux détenues au centre correctionnel pour femmes d’Edna Mahan. Dans une interview dans le New York Post, l’ancienne mère adoptive de Minor, le Dr Wanda Broach-Butts, a déclaré qu’elle pensait que son fils était un « psychopathe » et qu’il utilisait le transgenre comme « stratégie » pour se faire enfermer parmi les femmes.

En novembre, un homme biologique qui s’identifie comme transgenre aurait violé une jeune fille de 14 ans au Royaume-Uni. L’homme, David Orton, qui avait 25 ans au moment de la condamnation, risque neuf ans et demi de prison après avoir été reconnu coupable d’activités sexuelles avec pénétration sur un enfant.

Plus tôt cette année, un autre homme biologique au Royaume-Uni qui s’est identifié comme une femme transgenre a été reconnu coupable du viol de deux femmes. Par la suite, on apprenait  que le violeur condamné, qui s’appelle « Isla Bryson », était incarcéré dans une prison pour femmes en attendant sa condamnation. L’ex-épouse de Bryson, Shonna Graham, 31 ans, a déclaré au Daily Mail que Bryson « harcelait » les responsables sur le fait d’être transgenre pour obtenir « une vie plus facile en prison ». Bryson s’appelait auparavant « Adam Graham ». En réponse à la préoccupation du public, le Premier ministre écossais, Nicola Sturgeon, a annoncé que Bryson serait transféré hors de la prison pour femmes. À partir de maintenant, il est instauré une « pause » temporaire, en attente d’instructions ultérieures, concernant le placement des détenus transgenres ayant des antécédents de violence contre les femmes dans les prisons réservées aux femmes.

Selon le Daily Mail, les hommes au Royaume-Uni qui ont été emprisonnés pour des délits sexuels sont deux fois plus susceptibles de s’identifier comme des « femmes transgenres » que tout autre type de détenu. Ce chiffre est tiré du rapport annuel sur l’égalité des délinquants en prison et en probation. Le rapport suggère également que les hommes pourraient falsifier leur nouvelle identité pour aller dans les prisons pour femmes.

Traduit depuis l’article « Male sex offenders ‘faking trans identities’ to move to women’s prisons » du site The Telegraph.

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