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Les hommes canadiens qui « s’identifient » comme « femmes » seront admis dans les prisons pour femmes

mise à jour le 13/05/22

Le Young Global Leader Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, est soutenu par Klaus Schwab et George Soros. L’Open Society de ce dernier finance la « cause » LGBT. De la même façon que les États-Unis morcellent les nations, le lobby LGBT divise les populations en entités artificielles. L’essentiel étant que leurs médias n’évoquent jamais le moindre conflit social et remplacent l’économie par la psychologie individuelle. Parler de répartition des richesses, ce n’est pas « woke ».


OTTAWA (LifeSiteNews) – Les hommes canadiens qui « s’identifient » comme des « femmes » sont maintenant officiellement autorisés à être transférés d’une prison pour hommes à une prison pour femmes, s’ils le demandent et si leur demande est approuvée. Selon une récente directive du Service correctionnel du Canada (SCC), la nouvelle politique publiée mercredi stipule que les transferts de détenus seront autorisés indépendamment de « l’identité ou de l’expression de genre ».

« Après avoir terminé le processus d’évaluation initiale, les délinquants seront placés en fonction de leur identité ou de leur expression de genre dans un établissement pour hommes ou pour femmes, si telle est leur préférence, quel que soit leur sexe (c.-à-d. anatomie) ou le marqueur de genre/sexe sur leur documents d’identification », indique la directive.

La directive, qui s’intitule « Directive du commissaire sur les 100 délinquants de sexe divers », indique clairement comment le processus de transfèrement doit se dérouler. Il oblige également le personnel correctionnel à suivre une formation sur la « diversité des sexes ».

La nouvelle directive du commissaire stipule que les détenus de sexe masculin qui souhaitent être incarcérés dans une prison pour femmes devront se soumettre à un processus d’évaluation avant que le transfèrement ne soit approuvé. Le dernier mot — quant à savoir si un détenu est autorisé à être transféré — viendra du commissaire adjoint aux opérations et programmes correctionnels ainsi que du sous-commissaire pour les femmes.

Depuis son entrée en fonction en 2015, le gouvernement libéral du Premier ministre Justin Trudeau a fortement poussé les initiatives pro-avortement ainsi que celles en faveur de l’idéologie LGBTQ radicale. En effet, en 2017, Trudeau a déclaré que son gouvernement s’engagerait à reconnaître que « les droits des personnes trans sont des droits humains et nous devons nous assurer que nous défendons la dignité et les droits de chacun de toutes les manières possibles ».

La récente directive rend plus ou moins permanente la politique permettant à un détenu, quel que soit son sexe de naissance, de choisir une prison pour hommes ou pour femmes, s’il « s’identifie » à un autre sexe. Bien que de nombreux groupes de défense des droits des femmes soient très pro-avortement ainsi que pro-LGBTQ, beaucoup ont fustigé la décision d’autoriser les hommes biologiques à entrer dans une prison pour femmes comme une menace pour leur sécurité.

Dans un récent rapport de True North , Heather Mason, ancienne prisonnière fédérale et porte-parole des droits des femmes canadiennes fondés sur le sexe, a déclaré que les prisons pour femmes devront accroître la sécurité en raison des tendances plus agressives des hommes.

Une récente décision de la Commission des libérations conditionnelles du Canada (CLCC) a révélé qu’une détenue était fréquemment agressée sexuellement par un homme biologique, lequel a été autorisé à être emprisonné à l’Établissement Grand Valley pour femmes à Kitchener, en Ontario. Cela a entraîné de récentes manifestations dans plusieurs prisons au Canada, ainsi qu’aux États-Unis qui, dans quelques États, autorisent les « femmes trans » à être hébergées dans des prisons pour hommes.

Ces derniers mois, les hommes biologiques participant à des sports féminins ont pris le devant de la scène, notamment après que l’étudiant universitaire William Thomas, qui se dit être une femme appelée « Lia », a fait des vagues en  affrontant des femmes  lors d’épreuves de natation de la National Collegiate Athletic Association (NCAA).

De nombreux États américains ont interdit ou cherchent à interdire aux « femmes trans » de participer à des sports féminins.

Traduction Le Média en 4-4-2

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