Les laboratoires Phytobôkaz, au cours de leurs recherches, ont assemblé des résultats qui tendent à montrer que des extraits de l’herbe à pic (Zèb a Pik), issue de la pharmacopée traditionnelle guadeloupéenne, aurait la capacité de rendre les cellules hôtes du virus hostiles à son développement et à sa reproduction.
Protéger la cellule plutôt qu’attaquer le virus
Alors que les laboratoires mondiaux se sont intéressés au virus et ont dirigé leurs recherches vers « l’immunité acquise » notamment par le vaccin, les recherches de Phytobôkaz se sont concentrées sur les cellules même de l’organisme. En effet, pour prospérer correctement, le virus a besoin d’une cellule à coloniser et corrompre jusqu’à encourager sa reproduction anarchique dans le corps. C’est ce phénomène qui déclenche des alertes biologiques et rend l’individu malade. Phytobôkaz a donc cherché à savoir si, dans notre biodiversité, des plantes pourraient être capables de renforcer les cellules afin d’empêcher toute cohabitation du virus. Cette découverte est fondamentale pour réduire l’impact de tous les virus à ARN sur les populations (dengue, chikungunya, coronavirus, rougeole).
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