La suspension de trois agents hospitaliers non vaccinés invalidée par la justice

mise à jour le 26/10/21

Le tribunal administratif de Lyon a invalidé la suspension de trois agents hospitaliers de la Loire non vaccinés, comme le rapporte l’AFP. Saisi en référé, le tribunal a fait part de ses «doutes sérieux» quant à la légalité de leur suspension.


Entre la crise des vocations et celles qui changent de métier, l’avenir semble sombre. Quand elle pense que personne n’est là pour la remplacer, Ophélie Rochefeuille a un pincement au cœur. Mais pour cette ex-infirmière qui a quitté la blouse blanche l’été dernier, il fallait d’abord penser à « se préserver du burn-out qui nous guette tous dans ce milieu-là ». On estime que, comme Ophélie, 180 000 infirmières diplômées, et en âge de travailler, n’exercent plus leur métier. Parmi celles qui restent, une étude publiée l’an dernier pointait que 43 % d’entre elles « ne savent pas si elles seront toujours infirmières dans cinq ans ». (LCI)

Les Français qui ont un cerveau ont compris que la pression à la dangereuse vaccination sur nos soignants était le moyen d’accélérer la destruction de la santé publique, qui doit basculer dans une santé privée, et donc pour riches. Ou pour des Français qui, comme les pauvres Américains, devront s’endetter pour une opération. Vous pouvez être sûrs que les assurances vont se jeter sur ce prêt usuraire, cette santé à crédit. Tout le monde y gagnera, sauf nous : le Big Tech avec la rafle de nos données de santé, le Big Pharma avide, le gouvernement corrompu et les assurances à l’affût, qui ne sont que le prête-nom de la Banque, de la haute banque, du Big Bank. Tout est raccord. Nos responsables politiques font tout pour dégoûter le personnel soignant, pour que l’édifice public se lézarde encore plus, pour que les Français aient peur d’aller se faire soigner à l’hôpital, pour qu’ils préfèrent la clinique avec « une bonne mutuelle ».

Toute cette histoire de covid n’est qu’une histoire de fric et de pouvoir, de destruction pour le profit. Heureusement, il reste encore un brin de justice, et cela devrait donner des idées à ceux qui résistent encore, en interne, ou qui sont prêts à craquer, c’est-à-dire à se faire injecter une saloperie pour garder leur boulot. Qui aurait imaginé un tel chantage il y a encore deux ans ?

Le tribunal administratif de Lyon a invalidé la suspension de trois agents hospitaliers de la Loire non vaccinés, comme le rapporte l’AFP. Saisi en référé, le tribunal a fait part de ses « doutes sérieux » quant à la légalité de leur suspension.

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