Déferlement totalitaire avec le RSI, le règlement sanitaire international de l’OMS. Chloé Frammery est reçue à Sud Radio avec André Bercoff pour nous rapporter le fait qu’à Genève, Place des Nations, ce samedi 27 mai dernier, il y a eu manifestation pour la souveraineté des peuples face à la prise de pouvoir de l’Organisation Mondiale de la Santé sur les États et le futur traité sur les pandémies menaçant les libertés fondamentales de chacun ; faisons front tous ensemble !
Il y a un traité qui était en négociation jusqu’au 30 Mai, il est censé être adopté en Mai 2024. Deux textes y sont présents :
- Le traité international pandémie qui sera au-dessus des lois nationales. Il peut être adopté par les 2/3 des voix (194 pays membres représentés par une délégation de chaque pays, par exemple 36 personnes pour la France qui donnent une seule voix).
- Le RSI, ce Règlement Sanitaire International, adopté par une majorité simple (51%), sera voté en Mai 2024. Depuis 1951, chaque « pandémie » a permis d’élargir le champs de ce règlement sanitaire international.
L’OMS aurait les pleins pouvoirs sur la souveraineté des pays membres, son PDG Tedros Adhanom Ghebreyesus aurait la décision suprême s’il y une urgence de santé internationale. Dans l’article 1 du RSI révisé, l’avis non contraignant est barré, les pays ne seront que consultés et n’auront pas leurs mots à dire sur l’application des mesures qui seront appliqué obligatoirement par les pays membres.
Il y a aussi un article de veille sur les réseaux sociaux sur les informations qui dérangeraient les volontés de l’OMS. Ce qui est visé, ce sont nos déplacements et libertés de choix. Toutes ces mesures de confinements étaient, pour le Covid, appliquées ou pas, par les pays membres, ce qui a amené des différences entre divers pays. En France, cela a été pire qu’en Suisse en matière de contrainte sociale.
Avec ce traité, l’OMS peut décider que ces mesures soient obligatoires pour toute la planète. La mention des « Droits de l’homme et les libertés fondamentales » est barrée et elle est remplacée par des « principe d’équité, de cohérence et d’inclusivité ». Il est donc annoncé que les Droits Humains ne seront pas nécessairement respectés.
L’issue de ce combat dépendra de la communication qui en sera faite. Aussi, Jérôme Salomon, l’ancien directeur général de la santé est recyclé à l’OMS, comme Agnès Buzin… Il est vice-président du comité permanent de la prévention préparation riposte dont le traité pandémie actuel. Donc il est au commande de ce qui est en train de se négocier !
Frantz pour Le Média en 4-4-2