Chloé Frammery : « Je me sens portée par une sorte de feu intérieur »

mise à jour le 01/04/22

Chloé Frammery est enseignante de maths en Suisse et lanceuse d’alerte. Elle a participé à plusieurs marches pour la liberté. Elle est apparue dans des vidéos sur le Covid aux côtés de Silvano Trotta, Jean-Jacques Crèvecœur ou encore Thierry Casanovas. Après avoir évoqué les procédures lancée par l’administration suisse contre elle, voici la suite de notre entretien. 

« Je ne pensais pas que les ramifications autour de l’État étaient si profondes et si diverses »

Le Média en 4-4-2 : Bonjour Chloé, comment allez-vous suite aux nombreuses attaques que vous avez subies de la part de l’État suisse ?

Chloé Frammery : Je vais très bien et je me sens comme la nature en cette période de printemps. Je me sens renaître après tout cet acharnement médiatique contre moi en Suisse romande et également en Suisse allemande, mais aussi après cette deuxième procédure enclenchée contre moi par l’État et le DIP (Direction de l’Instruction Publique). Après ces deux procédures qui visent peut-être à me ralentir dans mes actions et mes révélations, je me sens plutôt très bien !

Le Média en 4-4-2 : Diffamations, mensonges, menaces à peine voilées et même infiltration : pensiez-vous que l’État suisse, à travers ses multiples organes, pourrait aller aussi loin contre vous ?

Chloé Frammery : Et aussi est-ce que je pensais que les ramifications autour de l’État étaient si profondes et si diverses. Eh bien non ! Je ne pensais pas que j’aurais ce genre d’ennuis à la suite d’une simple vidéo sur la création monétaire avec un humoriste, étant donné que je milite depuis maintenant neuf ans et que les trois premières années de mon militantisme n’ont été entachées d’aucune menace, d’aucune sanction ni d’aucun avertissement de ma hiérarchie. Je me disais que la lutte syndicale et la contestation étaient permises au sein de la fonction publique. Je me suis rendu compte que cette contestation a des limites de la même façon que la liberté d’expression a également ses limites, et aujourd’hui on le voit. Ces limites semblent être franchies pour ces instances qui ont apparemment leur mot à dire sur la politique de l’État. On a vu notamment que la CICAD a un rôle important sur la surveillance des enseignants qui dérangent puisque les deux entretiens de service que j’ai subis depuis fin 2019 sont la conséquence de deux signalements de la CICAD par rapport à mes activités militantes. Ce que je ne soupçonnais pas non plus, c’est le lien entre l’État et les médias subventionnés comme Heidi News et Le Temps, qui d’ailleurs sont financés tous les deux par la fondation privée dont le président se trouve être un ancien conseiller d’État et président du canton de Genève (François Longchamp). Ces journaux ont eu des informations très précises avant la principale intéressée sur l’enquête et sur l’entretien de service. Le Temps a fait un article la veille de l’entretien (« Le rendez-vous manqué de la complotiste Chloé Frammery ») : ils savaient donc avant moi que mon entretien était reporté ! De la même façon, Heidi News était au courant d’une enquête administrative à mon sujet au mois d’octobre puisque le 15 octobre un article a été publié (« Ce que la complotiste Chloé Frammery raconte a ses élèves »). Il y était mentionné qu’une de mes élèves avait été auditionnée. Celle-ci se trouvant être la fille d’un grand rédacteur du magazine Campus, financé par l’université de Genève. Je sais que des collègues ont été inquiétés pour le même genre de raisons que celles qu’on m’impute, à savoir des publications Facebook ou des propos qui ne vont pas dans le sens de la pensée unique gouvernementale.

« La grippe a plus ou moins disparu avec notre liberté d’expression, notre liberté tout court et nos droits fondamentaux. »

Le Média en 4-4-2 : A quel moment de cette « crise sanitaire » vous êtes vous dit que le discours officiel ne tenait pas la route ?

Chloé Frammery : J’ai commencé à avoir la puce à l’oreille et à me dire que tout n’était pas normal quand en février 2020 ont été collées dans l’école où j’enseigne des affiches nous parlant du Coronavirus et nous demandant de nous laver les mains le plus souvent possible, de nous tenir éloignés les uns des autres et de faire attention aux gestes d’hygiène. Le 13 mars, on nous a annoncé que l’école fermait pour un temps indéterminé en raison de ce fameux Coronavirus. Puis le samedi 14 mars, j’étais au restaurant en France avec un de mes meilleurs amis et les serveurs nous ont annoncé que c’était le dernier repas avant un bon moment puisque le gouvernement venait d’annoncer la fermeture des restaurants. Le lundi 16, les restaurants ont également été fermés en Suisse. On remarque d’ailleurs que les mesures en Suisse et en France sont similaires et se suivent à quelques jours près, tout en sachant qu’elles sont moins drastiques en Suisse qu’en France : on n’a jamais eu de confinement réel ici, ni de couvre-feu. Cette batterie de mesures complètement inédites par rapport au faible nombre de morts et de malades m’a parue dès le début complètement disproportionnée. Et on a remarqué le 17 mars que le site de l’OFSP (Office Fédéral de la Santé Publique) nous disait qu’il n’y aurait plus de rapport sur la grippe car les symptômes étaient trop proches de ceux du Covid-19. C’est intéressant de voir qu’à partir de ce moment-là en Suisse comme en France et les autres pays industrialisés du monde, la grippe a plus ou moins disparu avec notre liberté d’expression, notre liberté tout court et nos droits fondamentaux. Au moment du début des mesures inédites, on avait 35 morts officielles « du Covid » en Suisse et 6 500 dans le monde. Est-ce que de si faibles chiffres peuvent justifier des mesures si drastiques ? Je ne le pense pas. Quand j’avais tourné ma vidéo devant le bâtiment de GAVI le 13 avril 2020, on en était à 114 000 morts « du Covid » dans le monde, ce qui ne représente même pas le nombre de morts par jour dans le monde (156 000). En Suisse, on était à 884 morts, ce qui correspond aux morts de la grippe. Le 16 mars, la Suisse s’est déclarée en « situation extraordinaire » » et le gouvernement a appelé ça « état de nécessité », ce qui a permis dès lors à nos sept Conseils fédéraux d’avoir les pleins pouvoirs, en passant outre les votations et les consultations de l’Assemblée fédérale. C’est à partir de ce moment-là qu’est apparu le totalitarisme en Suisse, comme en France d’ailleurs. On a alors compris que l’une des valeurs les plus fondamentales de l’être humain, du citoyen était en train de nous être enlevée. A la justice, la vérité, l’intégrité, s’est ajoutée cette valeur essentielle qu’on pensait garantie, qu’on pensait acquise car on n’avait pas eu l’impression d’en manquer jusque-là : LA LIBERTE.

Le Média en 4-4-2 : Comment êtes-vous entrée par la suite en contact avec d’autres lanceurs d’alertes tels que Silvano Trotta, Amélie Paul, Tal Schaller ou encore Jean-Jacques Crèvecœur ?

Chloé Frammery : Le premier lanceur d’alerte que vous citez et que j’ai rencontré, c’est Tal Schaller, durant les Gilets Jaunes à l’été 2019 à l’occasion d’un séjour qu’on a fait chez lui pour l’interviewer. On a aussi rencontré à ce moment-là Frédéric Chaumont (chaîne Jasper Mader) et j’étais à l’époque accompagnée de la chaîne Agora TV news. Silvano Trotta, je l’ai rencontré au mois de mai, nous avons fait une vidéo ensemble et il m’a intégrée ensuite dans l’équipe de chroniqueurs de l’émission qui allait s’appeler l’Info en QuestionS, en juin. C’est Ema Krusi qui m’a donné son contact après qu’elle l’a elle-même contacté. Ema m’avait contactée après avoir vu ma vidéo devant GAVI, nous nous sommes rencontrées et elle s’est ensuite lancée dans ses vidéos dénonciatrices. Amélie Paul, je l’ai connue lors d’une vidéo qu’on devait faire pour un message collectif sur les incohérences des différents gouvernements. On s’était regroupés avec d’autres « lanceurs d’alerte » sur un groupe Telegram et Amélie y était. Puis je lui ai proposé en septembre qu’on fasse une vidéo ensemble. Depuis, nous en avons fait deux, Amélie est vraiment une belle personne. Jean-Jacques Crèvecœur, je l’ai rencontré au début de l’aventure Info en QuestionS. Pour ce qui est des autres copains, j’ai rencontré Thierry Casasnovas également dans le cadre de l’Info en questionS. Il me connaissait depuis ma Quenelle d’or 2019 et je l’ai rencontré récemment quand j’ai passé un séjour chez lui au mois de novembre pour me retaper de toute la campagne de calomnie et de diffamation médiatique que j’ai subie au mois d’octobre. Cela fait neuf ans que je milite et j’ai eu l’occasion de rencontrer déjà pas mal de monde, des personnes engagées dans la défense des droits humains, la défense du vivant, la sauvegarde de la justice et de la vérité. Je connais maintenant un paquet de monde qui est bien impliqué et qui s’est fait bien censurer et bien calomnier, notamment depuis un an et l’arrivée du Covid-19.

Le Média en 4-4-2 : Comment est venue l’idée de l’émission l’Info en questionS ?

Chloé Frammery : L’Info en QuestionS est née de la rencontre au mois de mai des quatre fantastiques (Tal Schaller, Thierry Casasnovas, Jean-Jacques Crèvecœur et Silvano Trotta) qui ont décidé de mettre en place une émission d’information hebdomadaire. C’est à ce moment-là qu’on a été réunis et qu’on a constitué le noyau dur avec Tal, Jean-Jacques, Salim Laïbi, Sophie Meulemans, Ema Krusi et moi-même. Thierry a fait la première émission avec nous ; Silvano aurait dû la faire mais malheureusement, il n’a pas souhaité continuer.

« Résistons et ne nous laissons pas intimider par les menaces et les chantages de nos gouvernements »

Le Média en 4-4-2 : En ce moment en France, on parle beaucoup de la vaccination. Que se passe-t-il en Suisse ? Le gouvernement essaie-t-il comme chez nous d’imposer l’idée d’une vaccination obligatoire ?

Chloé Frammery : La question du vaccin obligatoire est sensible puisque, autant en France qu’en Suisse, les gouvernements ont remarqué que la population n’était pas du tout prête à se faire vacciner. Jacques Attali a d’ailleurs dit le 16 février sur LCI que le vaccin est un échec. La stratégie, autant française que suisse, est de conditionner l’accès aux lieux publics et privés à un vaccin Covid et, en attendant que tout le monde puisse être vacciné, à un test négatif. En Suisse, notre Conseil fédéral a bien spécifié qu’il n’y aurait pas de voyage sans vaccin, et il incite les organisateurs privés à rendre accessibles leurs événements (concerts, spectacles, rencontres sportives) uniquement aux personnes vaccinées. Un article de la semaine dernière nous disait qu’ils envisageaient qu’une vaccination majoritaire soit faite d’ici mai ou juin et qu’à partir de ce moment-là, des certificats de vaccination pourront être exigés pour les transports et les restaurants par exemple. Dans la loi sur les épidémies qui a été votée en 2012, il est spécifié à l’article 6 que le Conseil fédéral peut imposer la vaccination obligatoire. Pour l’instant en Suisse, il n’y a aucun vaccin obligatoire, y compris pour les enfants. Mais notre gouvernement peut l’imposer s’il le juge nécessaire et d’ailleurs, le 26 novembre le Conseiller fédéral de la Santé (équivalent du ministre de la Santé en France) nous a dit que pour l’instant il n’y aura pas de vaccination obligatoire générale contre le Covid-19 mais que la question pourrait se poser en cas de résistance importante à la vaccination dans certains contextes professionnels sensibles comme les lieux de soins. On sent une volonté de nous imposer le vaccin mais en même temps une crainte de ne pas rencontrer l’adhésion du public. Et sans l’adhésion de celui-ci, notre exécutif est impuissant. Donc continuons à résister et ne nous laissons pas intimider par les menaces et les chantages de nos gouvernements respectifs.

« Une des façons de faire taire les voix dérangeantes, c’est l’internement en hôpital psychiatrique »

Le Média en 4-4-2 : Un des épisodes les plus incroyables de ce Coronacircus est l’internement de Jean-Bernard Fourtillan en hôpital psychiatrique en décembre dernier. Pouvez-vous revenir sur le rôle que vous avez joué dans sa libération ?

Chloé Frammery : Comme vous le dites, c’est bien un des épisodes les plus incroyables ! J’ai eu connaissance de son internement le jeudi 10 décembre au soir par le fondateur d’Agora TV. J’ai aussi été alertée par la vidéo de Vincent Fréville, de la chaîne Vivre sur le fil (lui-même convoqué le 18 mai à 16 heures à l’hôpital psy de Bohars, à Brest pour une expertise psychiatrique !), qui faisait un appel national et international pour la libération de ce professeur que j’ai rencontré l’été dernier chez Frédéric Chaumont lors de sa vidéo Alerte vaccins (à propos de la composition du futur vaccin d’Astrazeneca avec le ChadOx1 n-CoV-19). Dès que j’ai su qu’il était interné, j’ai fait un message sur Twitter pour alerter mes abonnés de cet internement abusif puisque, comme vous le savez, une des façons de faire taire les voix dérangeantes, c’est l’internement en hôpital psychiatrique. Quand la censure des GAFAM ne suffit plus. Ce message sur Twitter a été très relayé et je me suis rendue avec Tal Schaller et l’équipe d’Agora TV à Uzès le samedi 12 décembre, où on a fait une petite vidéo pour montrer notre présence et pour filmer Tal en train de demander à voir le Pr Fourtillan, Tal étant son médecin. L’accès a été refusé à Tal et cette séquence vidéo a été vue sur ma chaîne plus de 50 000 fois et plus encore sur celle d’Agora TV. Je ne sais pas quel rôle j’ai joué dans la libération de Jean-Bernard mais je sais qu’une quantité impressionnante de médias alternatifs se sont emparés de cette affaire. France Soir et Sud Radio en ont parlé, jusqu’à alerter les médias mainstream subventionnés qui n’ont pas pu faire autrement que d’en parler eux-mêmes. Cette affaire a été tellement médiatisée internationalement (même aux Etats-Unis) que la préfecture de Nîmes (dans laquelle se trouve Uzès) n’a pas pu faire autrement que de relâcher Jean-Bernard. Il a, je le précise, fait partie du documentaire Hold-Up où il a parlé de la composition du vaccin et il est aussi à l’origine de la création de patchs naturels pour soigner des maladies chroniques comme la sclérose en plaque, la maladie de Parkinson ou l’épilepsie. Ces patchs sont efficaces et ne révèlent aucun effet secondaire, ce qui est probablement gênant pour le lobby de la médecine chimique.

« Cette impression d’être au bon endroit au bon moment et d’agir pour ma conscience, pour respecter les valeurs qui sont les miennes me nourrit en permanence »

Le Média en 4-4-2 : Nous allons maintenant passer aux questions des lecteurs du Média en 4-4-2.

Mat V : Bonjour Chloé, comment faites-vous pour tenir le rythme ?

Chloé Frammery : Cela fait neuf ans que je tiens ce rythme et il s’intensifie depuis un an avec cette crise de la « corona-psychose ». Je me sens portée par une sorte de feu intérieur depuis très longtemps et je me ressource avec toutes les belles personnes que j’ai la chance de rencontrer au travers de mes combats pacifiques et de mes actions. Je m’accorde des grasses matinées puisque je me couche tard pour répondre aux milliers de messages quotidiens. Cette impression d’être au bon endroit au bon moment et d’agir pour ma conscience, pour respecter les valeurs qui sont les miennes, me nourrit en permanence. Je ressens une force et une détermination qui me permettent de faire tout ce que je fais. Mon alimentation joue aussi certainement un rôle ; bien que n’étant pas végan, je mange essentiellement végétal cru (alimentation vivante), et cela me donne une vitalité encore accrue par rapport aux années « pâtes-pizzas-yaourts » qui ont précédé ma rencontre avec Irène Grosjean en 2016.

Marie : Bonjour Chloé, que savez-vous sur le prochain grand procès Nuremberg qui va se faire et auriez-vous une date ?

Chloé Frammery : Une class action a été mise en place autour de Reiner Fuellmich depuis le 17 février à la Cour pénale internationale de La Haye pour traduire les décideurs instrumentalisés par « la clique de Davos » (selon les mots de Reiner Fuellmich) pour crime contre l’humanité, sachant qu’un crime contre l’humanité n’est pas seulement un meurtre mais peut être aussi un fait d’esclavage, de torture (y compris psychologique), d’emprisonnement, de violation grave des droits fondamentaux pour un individu ou un groupe d’individus donné. Et c’est exactement ce à quoi nous assistons depuis un an au travers des mesures liberticides que sont le confinement, les masques, la distanciation, les fermetures de commerces, des frontières, l’interdiction de prescrire pour les médecins, la suppression des activités sportives et culturelles, les tests conseillés par Christian Drosten auprès de l’OMS, qui ne sont pas fiables. Ces tests ont d’ailleurs été élaborés par Kary Mullis qui disait qu’ils ne permettaient pas de détecter un quelconque virus mais plutôt une portion d’ADN. On peut ajouter à cette liste la vaccination expérimentale qui a déjà fait des milliers de morts. En parallèle, une plainte a été déposée par l’organisation People of Truth contre le gouvernement israélien pour violation du code de Nuremberg qui précise bien que toute expérimentation sur un être humain requiert son consentement libre et éclairé. Or, ces « vaccins » Pfizer, Moderna, Astrazeneca sont justement des expérimentations médicales qui ont été infligées aux Israéliens et à toute une partie de la population mondiale sans le consentement libre et éclairé systématique des personnes qui ont été vaccinées, notamment les personnes âgées en résidence.

Karmine: Quels sont les mouvements de résistance qui existent ou qui sont en train de se former en Suisse? Est-ce que les groupes se créent par corporations ou bien s’agit-il de regroupements de citoyens sans distinction ?

Chloé Frammery : Les groupes dont j’ai connaissance et qui se sont formés très récemment entre des citoyens sans distinction (donc non issus de corporations ni de partis politiques) sont notamment les Amis de la Constitution, Le Mouvement Suisse pour la Liberté Citoyenne, 1291.one, Suisse-unie.chmais également plusieurs collectifs de médecins dont celui qui correspond à Réinfo Covid en Suisse et qui est à l’origine d’un moratoire envoyé au gouvernement le 14 janvier 2021 demandant la suspension de la campagne de vaccination tant que nous n’avons pas les preuves de leur innocuité. Rappelons que les firmes pharmaco-génétiques ont mis au point ces technologies à base d’ARN Messager ou d’ADN visant à nous « prémunir » de cette maladie qui fait 0,03 % de décès depuis un an dans le monde… Donc sept fois moins que les maladies cardio-vasculaires, quatre fois moins que le cancer et que la famine, trois fois moins que la pollution de l’air.

Le Média en 4-4-2 : Merci beaucoup Chloé pour ta disponibilité. Et à très vite sur le 4-4-2 !

Retrouvez Chloé Frammery sur :
– YouTube (plus accessible depuis la fermeture arbitraire de Youtube)
– Twitter
– Odysee
– Rumble

Propos recueillis par Yoann pour Le Média en 4-4-2

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