Sandrine Rousseau veut voler votre épargne pour « reprendre la main sur notre dette » !

Sandrine Rousseau est une femme politique atypique. Elle est docteur en sciences économiques et enseignante à l’université, un pur produit de l’école française donc. Elle est également une militante féministe engagée et une écologiste plus que convaincue et peu convaincante. Elle a rejoint le parti Europe Écologie Les Verts (EELV) en 2010 et a été élue députée de Paris en 2017. Depuis, elle ne cesse de surprendre et de déranger par ses prises de position audacieuses et ses déclarations chocs.

Je me suis toujours demandé à quoi servait @sandrousseau et pourquoi on était si complaisant avec elle malgré les âneries qu’elle débite à longueur de journée.
Vous voyez les mannequins utilisés pour tester la sécurité des voitures ?
Ben elle fait pareil avec les objectifs du WEF pic.twitter.com/ikLyGsPzak

— AuBonTouiteFrançais 🍾🍾🍾 (@VictorSinclair3) April 5, 2024

Sandrine Rousseau est une adepte des « stress tests ». Comme les mannequins utilisés pour tester la sécurité des voitures, elle n’hésite pas à se mettre en danger au service de la Macronie pour tester les limites du peuple. Sa dernière proposition en date concerne l’épargne des Français en est un très bon exemple.

Lors de son intervention sur Boursorama.com, elle a déclaré que « l’épargne des Français nous permettrait de reprendre la main sur notre dette et qu’on pourrait y contraindre les épargnants » à l’effort de la dette. Cette proposition a évidemment suscité de vives réactions, qui vont être scrutées de près par le pouvoir pour savoir si la masse est prête ou pas pour la mise en lace d’une telle mesure.

Le passage en question se trouve à la 13ème minute de l’interview :

Selon la Macronie, à travers la voix de Sandrine Rousseau donc, l’épargne des Français est un levier important pour résoudre le problème du déficit budgétaire et de la dette publique. Elle estime que les Français ont épargné massivement pendant la crise du Covid-19 et que cette épargne pourrait être utilisée pour financer des projets utiles à la société. Elle propose donc de contraindre les épargnants à participer à l’effort de la dette, en échange d’une rémunération et d’une garantie de l’État.

Il convient de souligner que cette proposition est contraire aux principes fondamentaux de la propriété privée et de la liberté individuelle. Contraindre les épargnants à investir leur argent dans des projets choisis par l’État revient à les priver de leur droit de choisir librement l’utilisation de leur épargne. C’est également une forme de taxation déguisée, même si cela est présenté sous une forme différente.