L’UPR est un des seuls partis politiques (avec Les Patriotes et Debout La France) à s’opposer à la dictature sanitaire instaurée en France. Nous avons contacté Patrice Cali, responsable national UPR en charge du secteur public, membre du bureau national du parti et tête de liste aux dernières municipales lyonnaises pour en savoir plus sur la formation de François Asselineau.
« Par confort de vie, nos concitoyens sont hypnotisés par cette ingénierie sociale »
Le Média en 4-4-2 : Bonjour M. Cali, nous vous remercions de bien vouloir répondre à nos questions. À quel moment l’UPR s’est-il dit que le narratif officiel sur le Covid n’était pas véridique ?
Patrice Cali : Bonjour le 4-4-2, merci de me questionner. En premier lieu je tiens à vous féliciter pour la qualité du travail que vous faites et notamment la dose d’humour que vous mettez dans vos vidéos, parfois ça peut aider à faire passer le message.
Nous avons rapidement vu à l’UPR que le discours dominant ne collait pas, ils nous disaient que les masques étaient inutiles, puis on a appris qu’en janvier 2020 Agnès Buzyn et Jérôme Salomon avaient catégorisé l’hydroxychloroquine sur la liste II des substances vénéneuses, les CheckNews ou autres Décodex peuvent dire ce qu’ils veulent, c’est un fait… Puis il y a eu l’usage de la chloroquine restreint à des cas sévères, alors que des spécialistes comme les Prs Raoult et Perronne demandaient qu’elle soit au contraire administrée le plus tôt possible dans le développement de la maladie. Puis il y a eu les tests du Remdésivir (Gilead) qui laissaient de grosses séquelles, soudainement abandonnés sans explication et le scandale de l’affaire du Lancet dans lequel nous demandions la démission d’Olivier Véran. Vous remarquerez que cette interdiction n’a pas empêché certains politiques et sûrement même Macron de se faire traiter à l’hydroxychloroquine. François Asselineau et l’UPR se sont positionnés très rapidement pour l’usage de la chloroquine, cela nous a été reproché par certains Youtubeurs zététiciens, d’ailleurs sur les « vaccins » génétiques, on ne les entend plus, c’est étonnant !
Le Média en 442 : L’UPR a-t-il toujours eu la conviction que le discours officiel d’une manière générale est mensonger ?
Patrice Cali : Cette conviction nous est venue rapidement depuis le vote bafoué sur le référendum de 2005. On a toujours eu des doutes sur le discours officiel, la pensée unique que les médias et le gouverne-ment tentent de nous imposer ; mettre en doute le discours dominant devrait être un réflexe de tout à chacun. C’est bien l’objectif de tous ceux qui cherchent à s’informer et à informer les autres. Comme ils dérangent les menteurs professionnels, ils sont insultés, discrédités, traités de complotistes et censurés comme l’est François Asselineau, alors que c’est un lanceur d’alerte qui a décidé de lancer un mouvement politique. Ça me fait penser à une citation, d’Orwell : « À une époque de supercherie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire. »
Le Média en 442 : Comment cela se fait-il que nous ne soyons qu’une minorité à ne pas être convaincus par cette supercherie « universelle » ?
Patrice Cali : Malheureusement par fainéantise et par confort de vie, nos concitoyens sont hypnotisés par cette ingénierie sociale qui nous gangrène via les médias européistes-complices depuis plusieurs décennies.
Le Média en 442 : Partagez-vous tous au sein du parti le point de vue très tranché de François Asselineau sur la question ?
Patrice Cali : Au sein de notre parti, il y a eu une petite scission : des cadres critiquaient F. Asselineau pour sa position de soutien envers le Pr Raoult. Cette scission nous a fait du bien car avec du recul c’est bien F. Asselineau qui avait raison. Maintenant nous avançons : le président de l’UPR continue à publier régulièrement des vidéos (dont certaines dépassent le million de vues) et des tweets pendant que la majorité des adhérents fait du cybermilitantisme et d’autres des actions de terrains rendues quand même compliquées avec les lois liberticides que l’on subit, mais la résistance à la Pravda du Covid s’organise.
« Il y a une volonté délibérée à ne pas soigner, à maintenir les Français dans la peur et l’ignorance »
Le Média en 442 : Justement, l’UPR n’est pas le seul parti d’opposition à cette dictature sanitaire. Une lettre commune a d’ailleurs été rédigée par l’UPR, les Patriotes et Debout La France.
Patrice Cali : Les traitements contre le Covid existent et cette lettre prouve qu’il y a une volonté délibérée à ne pas soigner, à maintenir les Français dans la peur et l’ignorance ; c’est gravissime ! Pire, le 29 mars, le gouvernement a autorisé par décret le recours à des médicaments de soins palliatifs ; parmi eux, le Rivotril, habituellement interdit en médecine de ville et dans les Ehpad ! Une cadre de santé témoignait :
« Quand on a reçu ces directives, ça nous a choqués, on a abrégé les souffrances des gens. Moi, j’appelle ça l’euthanasie. Qu’on ait osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir plus vite, c’est insupportable. »
Le Média en 442 : On le sait, l’objectif principal de l’UPR est le Frexit. L’Union européenne joue d’ailleurs un rôle central dans cette « crise sanitaire »…
Patrice Cali : Pourquoi n’y a-t-il pas de débat sur notre appartenance à l’Union européenne ? On a tous compris son inutilité dans la gestion de cette crise (frontière, masque, désindustrialisation, test, vaccin…) et pourtant la Commission européenne continue de signer des accords de libre-échange, alors que le Frexit permettrait justement de produire localement, et c’est ce que demandent les Français car il y a trois avantages à cela : emplois, pas de pollution liée au transport et contrôle sanitaire aux normes de notre pays. Sur les produits stratégiques, nous ne devons pas dépendre de l’étranger car nous serions soumis à un risque de pénurie, l’exemple des masques est frappant : en pleine crise les Chinois étaient en incapacité de nous en fournir pour nos soignants ! Aujourd’hui, la crise est sanitaire mais demain elle sera peut-être d’une autre nature (technologique, écologique, alimentaire ou autre). Nous devons nous y préparer et avoir une vision plus large que le secteur médical. Ça passe par la sortie de l’Union européenne auquel la France est contributrice nette à hauteur de 7 à 10 milliards d’euros par an !
« Quand Macron nous encourageait à sortir, c’était pour nous contaminer ? Pour contaminer ensuite nos familles une fois confinés ? »
Le Média en 442 : L’UPR a lancé une procédure de destitution contre Macron. Pourquoi ?
Patrice Cali : Quand Macron, dix jours avant le premier confinement nous encourageait à aller au théâtre, à sortir, c’était pour nous contaminer ? Pour contaminer ensuite nos familles une fois confinés ? Véran explique lui-même il y a un an que c’est le confinement qui provoque la circulation du virus et Agnès Buzyn, ancienne ministre de la Santé, affirmait qu’elle était parfaitement au courant de l’ampleur que prendrait l’épidémie du Covid-19. Elle avait prévenue Emmanuel Macron et Édouard Philippe dès le mois de janvier de la catastrophe sanitaire qui se profilait ! L’immunité du président de la République peut tomber si les parlementaires lancent la procédure de destitution lancée par l’UPR et prévue par l’article 68 de la Constitution et qu’il est jugé en Haute Cour. Et pourquoi les ARS ne nous communiquent pas les taux de cycles utilisés pour les tests PCR ? Pour augmenter le nombre de faux cas positifs et nous maintenir dans la peur avec des courbes qui s’envolent ? Lorsque Véran reconnaît que les décès Covid en Ehpad ne sont fondés que sur des « suspicions » de Covid, le nombre de décès Covid est-il du coup exagéré ? Et pourquoi l’État refuse de réquisitionner les hôpitaux et cliniques privés qui sont presque vides ?
« Il faut nous faire peur pour nous vendre du “vaccin” génétique »
Le Média en 442 : On se pose souvent la question de savoir si nos gouvernants sont incompétents ou s’ils le font exprès. Quel est votre avis sur la question ?
Patrice Cali : Il faut bien comprendre que ce ne sont pas des erreurs qu’ils commettent. Ils défendent d’autres intérêts que les nôtres, les intérêts de ceux qui les paient et les dirigent : Big Pharma, les plus corrupteurs au monde, la finance transnationale systémique, Rothschild, Rockefeller, Klaus Schwab, le forum économique mondial de Davos, Bill Gates, Jacques Attali, BHL, Georges Soros et sa fondation l’Open Society, les mondialistes et, bien sûr, l’Union européenne de laquelle il faut donc sortir. Le quotidien Le Monde par exemple a reçu plus de 4 millions de dollars de la fondation de Bill Gates, en plus des aides de l’État (16 millions d’euros par an) et à cela s’ajoutait le plan de relance à la presse de l’État de 666 (sic) millions d’euros (au lieu de les mettre dans l’hôpital public par exemple). Nous avons une dette publique qui explose de plusieurs centaines de milliards d’euros, pourquoi n’a-t-on pas mis cet argent dans les hôpitaux qui en plus ferment des lits ? Quoi qu’il en coûte, il faut faire peur, nous déshumaniser nous « vendre » du geste barrière, de la distanciation (as)sociale, vendre du masque dès 6 ans ! Vendre du test, du Remdésivir, du confinement, du couvre-feu, du pass sanitaire et surtout vendre du « vaccin » génétique sur lequel nous n’avons aucun recul et qui est générateur de revenus colossaux pour Big Pharma, c’est le retour sur investissement.
« Chaque sujet vacciné participe à un essai de phase III qui ne dit pas son nom »
Le Média en 442 : Quel est votre avis sur la question de la vaccination obligatoire des soignants ?
Patrice Cali : À l’UPR nous sommes contre la « vaccination » obligatoire des soignants, mais aussi des Français (en réalité c’est un « vaccin génique expérimental » selon la généticienne Alexandra Henrion-Caude). Aucune étude épidémiologique n’est réellement terminée en 2021, par exemple l’essai Pfizer en cours ne sera pas terminé avant 2023. Chaque sujet vacciné participe donc officiellement à un essai de phase III qui ne dit pas son nom, avec toutes les conséquences juridiques que cet état de fait pourrait comporter dans l’avenir. À la base l‘ARN médicament a été développée contre le cancer et non pas à des fins vaccinales. Par ailleurs des conditions floues limitent les clauses de responsabilité des laboratoires pharmaceutiques dans des contrats confidentiels. Nous craignons à moyen terme et long terme que les effets secondaires soient importants. A court terme ils le sont déjà puisque aux États-Unis, selon le CDC (Centers for Disease Control and Prevention) et la FDA (Food and Drug Administration), 966 personnes sont décédées après avoir reçu le vaccin ARNm Covid19 entre le 14 décembre et le 19 février dont 8,9% le jour même de la vaccination et 53,2% à une semaine ! Et en Europe, en deux mois, les trois vaccins Covid totalisent 114 906 effets indésirables (base de données européennes : Astra Zeneca, Pfizer, Moderna comptabilisent 3292 décès. C’est trois fois plus d’effets indésirables que les quatre médicaments anti-covid en 30 à 40 ans : ivermectine, azythromycine, doxycycline : 42 184 à eux 4).
Pourquoi les médias ne le relèvent pas, eux qui étaient si prompts à le faire à propos de l’hydroxychloroquine ? D’ailleurs quatorze États (Italie, Pays-Bas, Irlande, Roumanie, Danemark, Islande, Norvège, Bulgarie, Autriche, Luxembourg, Estonie, Lituanie, Lettonie et Thaïlande) suspendent l’utilisation du vaccin Astra Zeneca, dont dix sont des États membres de l’Union européenne : la solidarité européenne n’existe pas ! Le taux mortalité après vaccination ARNm COVID serait 87 FOIS PLUS ÉLEVÉ qu’après vaccination grippe ! Tuer des personnes pour les « sauver » d’une maladie qu’ils n’ont pas pose un véritable problème éthique ! Je rappelle que le Conseil de l’Europe (qui n’est pas l’Union européenne) a déclaré « s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement » ; et : « veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ». La simple évocation de ce projet d’« obligation » vaccinale montre encore une trahison de l’engagement donné par le président de la République.
? ALERTE 2
— François Asselineau (@UPR_Asselineau) March 7, 2021
Taux mortalité après vaccination ARNm COVID serait 87 FOIS PLUS ÉLEVÉ qu’après vaccination grippe
?GRIPPE
45 décès en 2019
=0,0000265% des vaccinations
?COVID ARNm
966 décès au 19/02
=0,0023% des 41977401 vaccinations
↪0,0023÷0,0000265=86,79https://t.co/idrhTtlRem
Le Média en 442 : On imagine votre opposition à cette obligation vaccinale et au futur « pass sanitaire » !
Patrice Cali : Nous exigeons bien entendu d’arrêter la mise en place du passeport vaccinal demandée par l’Union européenne et du pass sanitaire qui est contraire à l’article 1er de notre constitution du 4 octobre 1958. La France est une République indivisible, elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens, les articles 2 et 3 de notre constitution sont également complètement bafoués (d’où la procédure de destitution contre Macron). Le démantèlement de l’économie et des intérêts nationaux au profit des grands groupes mondiaux est de la haute trahison ! Ce que demandent les soignants, ce ne sont pas des vaccins mais du matériel et du personnel. Pendant le premier confinement, Macron et ses sbires ont envoyé sans masques, sans gants, sans tests, sans protections et sans médicaments prophylactiques, des milliers de médecins, d’aides-soignants (mais aussi des policiers, des pompiers, des gendarmes, et des millions de salariés) travailler en contact constant avec le public. Cette autre contradiction est frappante : d’un côté Macron nous dit qu’il n’y a pas « d’argent magique » et d’un autre, l’Union européenne commande 2 milliards de doses de vaccins pour un montant astronomique de 20 milliards d’euros ! La contribution de la France au budget de l’Union européenne étant de 18-20 % : cela représente tout de même environ 4 milliards d’euros pour la France, soit l’équivalent de la construction de 15,6 hôpitaux (celui de Melun a en effet coûté 256 millions d’euros).
Le Média en 442 : A vous écouter, on a l’impression que c’est BigPharma qui dicte la politique sanitaire en France et en Europe !
Patrice Cali : Les conflits d’intérêts et les lobbies ne doivent plus être opaques : par exemple le Pr Karine Lacombe a reçu 212 000 euros de BigPharma, le Pr Raffi 541 000 euros, le Pr Y. Yazdanpanah (membre du conseil scientifique) 133 000 € dont 34000 € de Johnson and Jonhson (vaccin commandé par l’Union européenne), Blachier a reçu 120 600 € de Gilead, le fameux promoteur du Remdésivir, mais aussi 275 840 € de Johnson and Jonhson (source). Même si Delfraissy assure aujourd’hui ne plus avoir de lien avec BigPharma, on se doute bien qu’il n’a pas jeté un tel carnet d’adresses. D’ailleurs on se demande bien à quoi il sert, cet oracle. Il demande de renforcer toujours les mesures coercitives que la France applique depuis un an avec des résultats calamiteux ! Faire des projections fondées sur rien : imposer un confinement, un couvre-feu infini ne repose sur aucune base scientifique et relève même de la diffusion de fausse information ! D’après le collectif Regards citoyens, les laboratoires ont dépensé 244,6 millions euros de cadeaux aux médecins français entre janvier 2012 et juin 2014 (dont 1 459 288 € par Gilead). Également, le cabinet privé McKinsey a déjà touché au moins 100 millions d’euros en conseillant les gouvernements sur le Covid-19 ! En 2017 le programme de l’UPR prévoyait d’assurer la protection des lanceurs d’alerte, d’imposer plus de transparence sur le lobbying des laboratoires qui s’exerce à Bruxelles, de retirer les médicaments dangereux et inefficaces (selon des études réalisées en dehors de tout lobby pharmaceutique). Nous voulons également l’arrêt des déremboursements imposés par l’Union européenne. Dernier point, regardons « à qui profite le crime » : Sanofi enregistre en 2020 un bénéfice record de 12,3 milliards d’euros, soit une augmentation de 340 % ! Le groupe va verser 4 milliards d’euros de dividendes à ses actionnaires et va supprimer un millier de postes en France dont 400 dans la recherche et le développement ! Moderna a eu une hausse de 250 % de valorisation boursière entre 2020 et 2019 . C’est scandaleux ! BigPharma s’enrichit, alors que le vaccin provoque des décès et effets secondaires, que le pays est à genou, que les riches sont de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus nombreux, que notre jeunesse est sacrifiée, que nos anciens sont isolés, que nos SDF meurent, que nos agriculteurs se suicident, que notre patrimoine est vendu, que nos services publics sont démantelés et que notre dette explose !
Le Média en 442 : Pour conclure cette interview, pouvez-vous nous donner un message d’espoir ?
Patrice Cali : Ce qui est encourageant c’est que les Français commencent à voir que les « complotistes » sont finalement des lanceurs d’alerte. Nous ne passerons au monde d’après que lorsque les véritables responsables (médias inclus) seront jugés et condamnés. La liberté, ce n’est pas le gouverne-ment qui va nous la rendre, c’est à nous le peuple de se lever et d’aller la prendre ! Je vais conclure avec cette citation d’Albert Camus : « Perdre la vie est peu de chose et j’aurai ce courage quand il le faudra. Mais voir se dissiper le sens de cette vie, disparaître notre raison d’existence, voilà ce qui est insupportable. On ne peut vivre sans raison. »
Et j’ai un dernier message pour le 442 : Continuez à faire du travail de qualité, car vous serez les médias de demain, la crise que nous vivons est également une crise médiatique. Les médias de masse, leurs mensonges et leurs censures tomberont tôt ou tard et ce sera vous qui prendrez leur place. Le vrai journalisme doit être neutre, impartial et respectant la charte de Munich. Le droit à l’information, à la libre expression et à la critique est une des libertés fondamentales de tout être humain.
Propos recueillis par Yoann pour Le Média en 4-4-2