Lorsque Gabriel Attal invente une histoire de harcèlement scolaire à des fins de communication politique.

Gabriel Attal a orchestré une opération de victimisation à la télévision pour légitimer sa campagne contre le harcèlement, mais Juan Branco, son ancien camarade de classe, nous explique qu'il avait été un adolescent violent et méprisant, soulevant des questions sur sa sincérité et sa décence dans ses actions et sa lutte contre l'homophobie.

mise à jour le 08/11/23

Juan Branco nous explique comment Gabriel Attal a orchestré une opération de victimisation à la télévision pour légitimer sa campagne contre le harcèlement.

Dans une récente diatribe, l’avocat controversé Juan Branco a mis en lumière le passé de Gabriel Attal, secrétaire d’État français, le décrivant comme un adolescent impitoyable et arrogant. Branco a souligné qu’Attal avait tenté de remodeler sa propre image en montant une opération de victimisation sur TF1 aux côtés de Mimi Marchand, ancienne proxénète reconvertie en trafiquante d’informations.

Juan Branco sur X :

« Gabriel Attal vient de monter une opération de victimisation sur TF1 avec son amie Mimi Marchand, ancienne proxénète et trafiquante de drogues reconvertie en trafiquante d’informations, pour tenter de donner un vernis de légitimité à son plan de communication sur le harcèlement. Gabriel Attal pensait s’être couvert en faisant supprimer les archives de l’affaire qu’il a décidé d’instrumentaliser.

Sauf que Gabriel Attal oublié qu’internet n’oublie rien, et que toutes les archives ont été conservées. Gabriel Attal n’a jamais été harcelé. Gaby était en fait un des plus violents camarades de classe que l’on puisse imaginer. Très sur de lui, faisant partie de la crème de la crème, il s’attaquait sans retenue aux plus fragiles que lui, multipliant les blagues à répétition sur les SDF, les pauvres, l’école publique… et revendiquant avec morgue et mépris sa supériorité.

Un jour, il a voulu apparaître sur un blog auquel il participait avec assiduité. Et ses très nombreuses victimes se sont lâchées. Comme un retour de bâton, par dizaines, elles lui ont signifié à quel point son comportement à quel point les humiliations qu’il faisait subir à ses camarades depuis des années en avaient fait un être détesté. Gabriel Attal ne l’a jamais accepté.

S’il avait des raisons d’être malheureux, et il n’était qu’un adolescent, il a désormais 34 ans, et le voir revenir sur ce sujet a quelque chose d’apitoyant. Bien des personnes ont dû ressentir un haut le coeur en le voyant tenter d’utiliser ces questions afin de de se propulser. Ce n’est pas digne. Ce n’est pas décent. Il en va de même en ce qui concerne la lutte contre l’homophobie. Personne n’avait jamais invoqué son orientation sexuelle, pour une raison très simple: personne ne savait. Personne ne s’y est jamais intéressé.

Vous noterez d’ailleurs son petit sourire au moment où il commence à invoquer l’affaire. Il dit tout de ces êtres qui se sont donnés pour obsession de vous gouverner.»

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