Isabel Diaz Aruso, présidente de la région de Madrid, a courageusement résisté, depuis le début de la pandémie, aux injonctions mondialistes de confinement total. Tout en prenant un certain nombre de mesures de précaution, elle a laissé les restaurants et les commerces ouverts. Reconnaissante, la population madrilène a voté à 44 % pour le parti populaire, qui renaît de ses cendres. Preuve que la défense des libertés est la meilleure cause à défendre pour la droite conservatrice et libérale.
Isabel Diaz Ayuso, présidente de la région de Madrid, avait dû essuyer bien des critiques depuis un an. Et pourtant, elle n’en avait pas démordu : elle ne voulait pas soumettre les Madrilènes au prêt-à-porter de la dictature sanitaire recommandé par les mondialistes et largement adopté par un certain nombre de gouvernants européens, par mimétisme et par manque de courage. La politique mise en place par le gouvernement de la région suivait le mot d’ordre : « Madrid ne s’arrête pas » (« Madrid no se para» )