« Le masque [agit] comme un poison lent. » François Ducrocq, en ce qui concerne la crise que l’on vit actuellement, se demande si la population ne va pas vers un suicide collectif. Des réactions biochimiques dans les poumons à la situation anxiogène qu’il provoque, il nous explique que le masque est bien plus grave que ne le prétend le gouvernement.
A voir sur Le Média en 4-4-2 :
– Masque obligatoire dans les écoles « les enfants demandent quand cela va s’arrêter »