« C’est un travail en partant du terrain pour nous, élus de la république , de porter une parole différente. Avoir une neutralité est vitale pour gagner le combat. Les suspendus ont été les boucs émissaires indispensables pour créer la division nationale et alimenter la peur et la manipulation. »
Sans les suspendus, 3 mensonges tombaient :
- 1er mensonge, démontré par Pierre Chaillot (statisticien), celui de la peur de la mort, les soignants refusant cette injection sont ceux qui remettent cette épidémie à sa juste valeur
- 2eme mensonge, cacher le fait qu’il y avait des traitements pour soigner et c’est la 1ere fois que toute la santé en France et dans le monde a été faite pour dire on ne soigne pas, on ne voit pas le malade.
Quelle déception fondamentale de laisser mourir des gens qu’on pouvait soigner. Tout ça pour aboutir au plus gros des mensonges :
- celui de l’argent et la manipulation pour l’invention d’un vaccin qui n’en est pas un et qu’ils ont injecté à des milliards d’humains.
Les suspendus sont soignants et ils ont su dire : cela ne passera pas par moi, pas par mon corps. Toute la société vous a pris comme bouc émissaire, c’est tellement facile d’avoir une cible pour justifier sa propre lâcheté. Voilà pourquoi la plupart des politiques vous ont lâché comme les syndicalistes parce que vous défendre, c’était oser affronter le mensonge, c’était oser perdre des électeurs. En tant que député, je dois citer sur ma circonscription le décès d’un jeune de 17 ans, sur son terrain de foot, d’un arrêt cardiaque. Il était vacciné 4 fois.
Il y a des médecins criminels qui continuent à faire ça, la réalité du drame est toujours là. On ne peut pas accepter d’avoir une surmortalité de jeunes qui ont accepté d’être trompés. Cette crise est un formidable accélérateur de la décomposition institutionnelle démocratique de notre pays. Ce qui est en jeu n’est ni la droite ou la gauche mais ce qui faisait la France. Quand on a Macron pour 5 ans, on a derrière un système de destruction pour 5 ans. On aimerait que l’État soit au service supérieur de la nation et pas au service de l’industrie pharmaceutique, de la corruption généralisée, de Davos et de toute la clique mondiale.
C’est la question de la démocratie, il faut voir le RIC (référendum d’initiative citoyenne), reprendre le pouvoir sur Bruxelles. Les médias sont devenus oligarchiques, il sont totalement décrédibilisés, plus personne ne les croit. En revanche les français ne peuvent pas nous connaitre car nous sommes salis par les médias classiques comme toute personne qui résiste.
La liberté n’est pas seulement en France, ça se joue dans tous les pays et nous sommes en retard par rapport à l’Allemagne et les États-Unis.
Frantz pour Le Média en 4-4-2